1
Spaamelott / Re: Commentaires sur le livre VI
« on: 1er November 2009 à 23h26 »Erf, je suis peut être un vieux beau, un vieux con, mais c'est exactement ce type de chose qui me fait totalement adhérer. Génialissime à mon sens.En ce qui me concerne, j'adore quand le programme / contexte / esprit s'y prête. C'était jouissif dans Kill Bill d'entendre de la musique western d'Ennio Morricone alors qu'une américaine habillée en Bruce Lee façon "jeu de la mort" taillade du yakuza à coup de katana ou quand une bande de juifs américains barjos massacre tout le 3ème Reich dans "Inglourious Basterds"...
Là, c'est clair, je kiffe. Car l'esprit du programme s'y prête et le réalisateur ne fait que des films hommages / clin d'oeil / référentiels.
Mais là, dans Kaamelott, ça n'a strictement aucun sens au niveau artistique, dans l'esprit du programme "Kaamelott". Pour moi, anyway, bien sûr ! ^^
La seule justification possible est, à mon sens, le fait de vouloir rendre hommage au compositeur fétiche d'Astier (Lefèvre, compositeur sur des films de... De Funès, notamment) en utilisant l'une de ses compositions à la toute fin de Kaamelott version télé. Mais c'est tout.
Le morceau n'a en soi aucune autre légitimité dans le cadre artistique précis qui est celui de Kaamelott. Si la musique jazz d'Astier dans certaines scènes à Rome se justifiait par le thème (cfr explications d'Astier sur le parallélisme entre la décadence de Rome et celle de New York), mettre une musique expérimentale moderne en guise d'illustration du renouveau du héros, faisant tournoyer son sabre comme Luke Skywalker faisait tournoyer son sabre laser... Euh, on a compris que t'étais un geek, Alex ! ;-))
Mais ce n'est que mon avis, oeuf corse. Peu importe, de toute manière.
Cet épisode 9, Kaamelott et Alexandre Astier sont très grands ! ;-)
P.S. Ennio Morricone et Louis de Funès sont grands aussi, d'ailleurs, vive eux !