Sujets - Damien

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On boucle le gros chapitre avec les pénis semi-réalistes et réalistes, vibrants et non vibrants.

Les pénis semi-réalistes non vibrants :

La grande majorité d'entre eux possèdent une arme insoupçonnée par une grande majorité de gens : la succion cup !

Pourquoi ? C'est simple. Avec la ventouse, on peut le sticker pratiquement où on veut : sol, mur, rebord de baignoire, chaise, etc... et comme l'homme est très visuel, il pige de suite l'intérêt d'un tel jouet : des parties à trois sans l'inconvénient d'une tierce personne. Les tailles varient entre 5,5 pouces et 12 pouces. La moyenne des pénis qui sortent le plus mesurent entre 7 et 9 pouces.

Le plus gros vendeur est le pénis 9 pouces Samson. Sa succion cup est imparable et se sticke vraiment partout avec une bonne résistance.

A lubrifier avant usage car le caoutchouc peut très vite irriter...

Les pénis semi-réalistes vibrants :

Il en existe deux sortes. Ceux qui possèdent une batterie incorporée (comme les dildos vues précédemment et donc activés au moyen d'une molette graduée) ou ceux dotés d'une remote à fil pour activer le gros bullet à l'intérieur. ces derniers ont un gros intérêt si ils sont de la marque NMC. En effet, cette firme a conçu des remotes qui peuvent se fiter avec des bullet ou des pénis. Si la personne veut un max de puissance, des bullets possèdent une remote à 8 vibrations différentes, toutes ayant la possibilité d'être en level up sur 8 vitesses. Un truc de dingue !

Les gros pénis semi-réalistes non vibrants :

Là, on entre dans la catégorie amazing huge avec des tailles allant de 13 à 18 pouces ! Et oui, ça se vend car, n'oublions pas, si la femme a été capable d'accoucher, son vagin peut donc s'en farcir un sans trop de problème. Bien entendu, ça ne va pas jusqu'au bout, faut pas exagérer. Mais c'est possible, j'ai pu le constater via des DVD.

J'avais promis de mettre peu d'images pour ce chapitre. En voici au moins une. Le très célèbre The American Great Challenger, alias "Are you ready for it ?" :

(cliquez pour montrer ou cacher)

Les gros pénis réalistes non vibrants :

La dernière gamme concerne les pénis qui ont été moulés d'après des modèles réels. Malgré leur poids, les succion cups sont résistantes et permettent aux téméraires d'y jouer comme pour les autres. Et niveau taille/épaisseur, c'est impressionnant. Les plus célèbres sont celles John Holmes, l'american pornstar des 70's ou encore Rocco Siffredi. Le plus gros jamais vu à ce jour est celui de l'acteur BAM. 13 pouces dévastateurs.

(cliquez pour montrer ou cacher)

Comme vous le remarquerez, John semble mou. En fait non, il est à son maximum. Parce que bon, un bestiau de cette taille pompe pas mal de sang et si il cherche à le raidir davantage, le risque de tomber dans les pommes n'est pas à négliger...

Niveau texture, certains ont un touché incroyable avec la technologie UR3. Celle-ci consiste à reproduire un feeling touch proche de la peau humaine. Bluffant ! Existe aussi en pénis semi-réalistes de 6 à 9 pouces, vibrant avec remote ou non vibrant. Ce même procédé est usé pour les vagins articifiels (on y reviendra rapidement plus tard).

Voilà, chapitre court histoire d'éviter des problèmes. De toute façon, ce ne sont que de bêtes pénis !

Prochain chapitre : le strap-on, ou comment rallier l'humanité à un concept lesbien...

D's©

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Je vous ai manqué ? Il se passe tellement de choses dans ma vie que je constate que je n'ai pas rendu les honneurs qu'il fallait aux remote bullet dans le premier chapitre. Car niveau puissance, certains testés s'avèrent être de véritables bombes que feront exploser plus d'une femme ! Il faudra que je fasse donc une Maj. Idem pour les finger-bullets !

Suite du chapitre précédent sur les vibro deluxe. Tous les visuels proviennent des sites officiels des différents firmes. Donc si vous souhaitez en commandez ou avoir plus d'informations et de choix, vous saurez comment vous y rendre !

California Exotic Novelties :

Collection Couture :

Le pack envoi du pâté avec un filet d'eau pour marquer la fluidité du jouet (et peut-être une idée du dégât des "eaux" qu'ils peuvent produire). Tous sont en silicone médical, hypo-allergène en cibole ! Chacun possède un petit nom charmant comme tout pour accompagner leurs lignes épurées.Pour les double vibro, cela fonctionne de la façon suivante : premièrement, la firme a eu l'idée de faire un capuchon sans vis pour insérer les batteries, il suffit de le tourner sur un côté pour l'ouvrir et l'aspect hermétique est garanti ! Toutefois, je mets en garde les (trop) nombreuses personnes croyant hélas que le logo "water-proof" permet de faire subir au dildo n'importe quel jeu d'eau. Ce ne sont pas des sous-marins. A trop les plonger dans l'eau du bain (par exemple), les risques qu'une simple goutte ou qu'un capuchon mal essuyé puissent endommager le jouet à terme son réels. Minimisez son usage aquatique pour prolonger sa durée de vie. Sous la douche, cela est moins problématique car la main tenant le jouet masque en grande partie la zone motrice de celui-ci. Ah oui j'allais oublier le plus important :  retirez les batteries après chaque usage ! Cet avertissement est valable pour TOUS les dildo vibrants. Car même si le jouet est éteint, le jouet continue de consommer de l'énergie en veilleuse.

Ensuite il y a trois boutons. Tout d'abord, activer le jouet en appuyant sur le bouton du bas. Pour les clitoridiennes, pressez celui du milieu qui fera vibrer le rabbit (terme générique pour désigner cet élément). Ce dernier vous offrira 7 types de vibes (la continue en trois étapes, la pulsion longue et courte, l'escalade crescendo et decrescendo). Pour les vaginales, le bouton du haut active la rotation du jouet sur plusieurs vitesses.

Les vibro simples maintenant :Bien plus flexibles que leurs grands frères, ceux-ci pourront vous aider à taquiner votre G-spot aisément. Deux boutons : un pour la mise en marche, l'autre pour les vibrations.

Mise en garde : ne pas utiliser de lubrifiant à base de silicone sur des jouets en silicone, vous pourriez les altérer rapidement !

Collection Decadence :

Des petits monstres odieux ! Je serais une nana, je les trouverais agaçant dans la manière dont ils distribuent les vibrations car ce sont des coups à venir très très vite !Lorsqu'on appuie sur un bouton (je ne sais plus lequel), les vibrations sont saccadées. Et la rotation du la partie centrale aussi, de quoi titiller en masse !

OhMiBod !

Eh oui, un vibro qui s'active au rythme de la musique diffusée sur votre Ipod, c'est possible !Tout est dans l'image ! Et ça marche très bien ! Le jouet est très sensible si bien qu'il est conseillé de ne pas monter trop haut le volume (pas plus loin que le milieu, ça suffit amplement) et vous serez transportez ! Testé avec de l'electro, du rock (Muse) et du Beethoven. Existe aussi en g-spot, bullet et vibro wireless. La classe iTouch ! J'ignore cependant si Steve Jobs est au courant de l'existence de ce jouet détournant le nom de son joujou fétiche...

We Vibes II :Le jouet le plus populaire du moment ! Il a reçu les acclamations de plusieurs médias comme The New York Time, Cosmopolitan, Glamour ou encore Women'sHealth. Il s'agit d'une invention canadienne mise au point par... un ingénieur en informatique de l'Ontario (NDT : un geek). Ce bonhomme est devenu multi-millionnaire en peu de temps. Ses atouts sont les suivants :

- Design original
- Rechargeable comme un téléphone cellulaire
- Autonomie de plus de 12 heures
- Permet une insertion double (vaginal-anal) ou simple (vaginal/G-spot) avec stimulation clitoridienne. Tout en un !
- Bonne flexibilité
- 7 vibrations
- Silicone médical
- Se range facilement
- "Waterproofitude" plus importante

La marque japonaise Okiya a tenté de reproduire le jouet à sa sauce mais sans réel succès.

Ophoria :

Tous les jouets de cette gamme ont deux points communs : silicone et un seul bouton pour les activer.Le bouton d'activation se trouve sous le socle. On appuie une fois pour enclencher la première vibe. En pressant à nouveau, on modifie la vibration. Pour l'éteindre, il suffit de presser le bouton pendant quelques secondes.

Même chose pour le Beyond :A noter que la firme a également lancé un jouet totalement manuel pour le G-Spot :Lors de l'insertion g-spot, une stimulation clitoridienne est rendue possible grâce au bouton située sur l'anneau vers le bas du jouet. Beau et très résistant, même au soleil ! On peut donc lui décerner la palme d'or de la "waterproofitude" sans soucis. Et on peut même le reconvertir en arme de défense car le silicone compact peut laisser de vilaines traces, un peu comme les fameux "casse-têtes" des Indiens d'Amérique... mais il y a pire en matière de dildo-defense avec les pénis UR5 et UR3 (plus d'infos dans le chapitre 3/3).

Fun Factory :

Teuton inside since 1995 ! Les allemands sont en train de laisser une marque durable dans le paysage du sex-toys après avoir mis sur le marché un silicone lubricant du feu de Dieu (Pjur, j'y reviendrai dans la section pharmacie).

L'entreprise porte bien son nom car les formes de ses jouets sont fun et colorés.

Silicone premium et incroyablement silencieux en dépit de la puissance qu'il dégage ! 2 boutons. l'un met en marche le jouet et augmente la vibration (+), l'autre le diminue avant de l'éteindre (-).

Le plus gros succès de la boîte est Patchy Paul, une grosse chenille :Pour une fois, la wateproofitude s'avère correcte. La façon dont doit être posé le socle après insertion des batteries ne laisse quasi aucun doute sur l'étanchéité du jouet. Méfiance, ceci dit, à moyen ou long terme...

Non content d'une stimulation vaginale, Paul peut activer votre G-spot avec son gros pif et exciter les mamelons si vous le désirez (un peu comme les autres dildos des autres marques mais en mieux icitte). Un jouet pour la nouvelle génération dorée. Parce que bon, c'est super dispendieux !

Okiya (NDT : Maison de geisha):Et les japonais dans tout ça ? Ben pas grand-chose, ils plaisent de moins en moins à cause de la censure exercées sur les jouets (des visages humains sur les glands, un visuel sur la boîte qui laisse perplexe) et de la forme du boitier d'activation, trop gros et plutôt old-school... ceci dit, ce sont de gros gadgets multi-fonctions avec dildo à billes rotatives à double sens giratoire, double pénétration, double bullet, G-spot etc... en perte de vitesse.

Seul réel avantage : toute la gamme dispose d'une garantie d'un an. Si le jouet est défectueux dans l'année suivant son achat, il peut être réparer au frais de la boîte qui possède des succursales un peu partout dans le monde.

WOW ! de Pipedream :

Le pack est sublime ! Il existe 3 versions. N°1 pour le plus petit et n°3 pour le plus grand. Je ne mets pas d'images car elles sont trop grosses.

Multi-speed, rangées de perles massantes, rabbit hurlant, texture fine pour d'énormes sensations, bref tout pour plaire sauf peut-être son prix...

Voilà pour cette dernière partie du jouet deluxe ! On est bien loin du lady finger des années 80... !!

Pas un mot sur Lelo car je n'ai pas encore eu l'occasion d'en avoir sous la main. De toute manière, cette collection très dispendieuse a du soucis à se faire avec la concurrence qui commence à lancer des lignes de jouets chics et fashions...

Next chapter (avec balise spoils) : les pénis réalistes vibrants ou non. On tâchera de faire court pour passer ensuite à autre chose de plus sympa à mater.

D's©

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Pfiouuuu, un mois plus tard... beaucoup de choses se sont passées et m'ont énormément occupé, désolé pour cette longue attente !

Et c'est parti pour le dossier le plus sharp de ce blog : les vibros féminins !

Nous n'allons pas pouvoir nous étendre sur l'immensité de cet océan regorgeant de couleurs flashy, de lignes design ou encore de funny shapes. Retenons surtout que tous les vibro présentés icitte sont essentiellement 3-speed. Les modèles pulsar, représentés par la marque NMC, seront abordés dans le chapitre suivant.

Le vibro 3-speed est le toy par excellence pour qui voudrait plonger corps et âme dans ce tunnel où la lumière orgasmique vous souhaitera la bienvenue. Un jouet pour débutante, avec une vibe graduelle, simple a régler et enrobée d'une belle couche de silicone ou de caoutchouc flexy et coloré.

Doc Johnson - Collection Sweet Dreams/Vivid DreamsL'intérêt premier de ce type de jouet se situe dans sa molette. Dans le cas présent, un pouce suffit pour activer la vibe lorsqu'on pose le jouet dans le sens de l'insertion. La flex est correc' et les reliefs offrent pour pas mal de filles un massage délicat qui enivre les sens... où bien ouvre les vannes (fait rapporté par quelques clientes, comme quoi avoir un homme au lit ne suffit pas toujours... :P)

Hééééé mais les mecs, pourquoi quittez-vous subitement la page ?

Et histoire de mieux les vendre ou donner au monde du pOrn une image plus sympathique, la marque Doc Johnson a effectué un partenariat avec la big boîte de prod' Vivid (que je recommande au même titre que Colmax, Private et surtout Nine Worx) qui a accepté que chaque modèle de toy puisse avoir sur l'emballage une star de leur écurie.

Exemple : Lexie et le pink model.Doc Johnson - Lucid Dreams

Peu de différence avec la collection précédente sauf une molette standard et deux G-spot flex :

Le G-spot candy avec son petit bullet :And the big bro' with a big bullet :Doc Johnson - Vivid Sensual Séductions

Alors attention, ne vous laisser pas berner par son nom, on pénètre dans le full vibe. Un engin cuty avec une velvet touch mais qui shake les yeux et fera sauter vos plombages. Pas besoin de le sentir, une fois mis en marche, la vibration est telle que le toy gigote à l'oeil nu ! Silencieux mais hardcore en tabarouette !Doc Johnson - Reflections

Plus petits que les précédents, ces toys ont une fin revêtement en verre ce qui donne une touche cold or warm selon les besoins. Mais attention à ne pas le mettre dans un congélateur ou le laisser sous une grosse flamme car ça pourrait endommager les circuits. Pour l'activier, il suffit d'appuyer sur le bouton. Chaque pression augmente la vitesse (3) et la quatrième fois l'éteint.H2O - Trojan, Patriot and Viking

Le silicone est reconnu comme étant un matériau hypo-allergène, permettant aux femmes trop sensibles au caoutchouc ou au silagel de pouvoir s'amuser aussi. H2O propose ce type de produit sous forme de pénis semi-réaliste et transparent ou semi-transparent.Trés bonne vibe, flexibilité importante. Pas pire comme dildo. A ne surtout pas utiliser avec un lubrifiant à base de silicone ! Rien de pire pour endommager le jouet à court terme.

Bswish - Collection Bcute

Passons maintenant au chapitre "avoir la classe en toute circonstance". Bswish est une marque californienne (comme 90% des marques de sex toys d'ailleurs) et a lancé différentes lignes de produits au toucher fort agréable, avec une excellente garantie et des objets avec un design très intéressant.

Tout d'abord la ligne BCute. Ce sont des mini-toys en silicone dotés d'un petit sac à rangement, le tout dans une boîte très chic.Le toy pour workin'-gurl qui a envie de se faire un petit refresh entre deux réunions au boulot. Tous fonctionnent avec une molette qui gradue l'amplification de la vibration. Voici les modèles suivants :

Curve : ce jouet est essentiellement à usage clitoridien. Un usage semi-interne est possible mais ne procurera pas de grandes sensations.Pearl : Même chose.Classic : Là, une insertion est possible car la ligne le permet mais cela reste un petit modèle comme ses deux compères.Bswish - Collection bNaughty

On entre dans la catégorie des bullet deluxe avec remote wireless or not.

Amis geeks, cela ne vous évoque pas quelque chose ?

Le suivant est très adulé par les couples et pour cause : Monsieur peut contrôler la vibe de madame à distance, quand il veut, où il veut. Wireless, longue portée, 10 vibrations et écran digital pour indiquer celle qui est actionnée. Le top du top pour les jeux en couples. Pour le vendre, il suffit de donner des idées comme le mettre en marche au restaurant ou lors d'un repas familial... Ha ha ! Unleashed the pleasure !Bswish - bCurious

Le top full en la matière ! Un velvet touch incomparable (sauf peut-être avec Fun Factory ou Lelo mais j'y reviendrais plus tard) et un design très élancé. Voyez plutôt :Ce modèle ne fonctionne pas avec des piles mais se recharge comme un téléphone cellulaire ! De plus, si on le retourne, il ressemble à une sorte de chaussure de sport aux formes épurées. Un bonheur pour les yeux mais pas que ça : ce bean à usage exclusivement externe (il suffit de le coller contre la paroi vaginale) propose un set d'une dizaine de vibrations avec des pulsions et des escalades. Comptez quand même une centaine d'euros pour l'obtenir... mais la qualité y est !


Next : Les pulsars et les autres marques deluxe : Ophoria, Lelo et Fun factory sans oublier la fierté canadienne avec le We-V II !

D's©

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Après un accouchement, nombre de femmes constatent un relâchement du périnée. Il s'agit donc de lui rendre son élasticité et muscler également le reste du vagin. Comment faire ?Les geisha balls sont deux petites boules reliées ou non par une ficelle ou un cordon en latex. Creuses, elles contiennent une petite bille métallique chacune qui provoquent des séries de vibrations par secousses.

Généralement, ce jouet se porte avant les préliminaires pour assurer une bonne lubrification ou bien quelques heures et où l'on veut, à condition qu'elles n'émettent pas trop de vibrations fortes pour ne pas se sentir gênée en public.

Un bout de ficelle doit toujours rester à l'extérieur, à la manière d'un tampax. Chaque vibration exerce une contraction sur le vagin qui non seulement se remuscle mais lui donne des sensations décuplées ou retrouvées après avoir donné une progéniture à la famille.

Voilà pour le modèle de base. Il existe bien entendu toute une variété de boules. Certaines sont sans fil :D'autres sont indépendantes l'une de l'autre comme les fameuses boules chinoises Ben Wa :Métal, plastique, latex et silicone sont les matières les plus courantes. Certaines ajoutent des reliefs pour une meilleure sensations à la manières des jouets Ophoria :On trouve même des jouets proposant plus de deux boules :A noter qu'elles peuvent avoir un usage anal et donc convenir aussi aux hommes.

Et puis, elles peuvent vibrer, et pas qu'un peu !

D'abord ceux à vitesses variables par simple manipulation de la molette sur la commande :Mais également celles à pulsions (4-5).

Voilà, avec ça vous aurez de quoi nous les briser si vous vous sentez de nous dire "on en a des plus grosses que vous !"

D's©

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Tout le monde a déjà vu une (ou plusieurs) pub(s) vantant les mérites d'un produit en détournant un appareil quotidien. C'est le cas notamment du téléphone portable qui vibre au lieu de nous hurler la petite musique de nuit de Mozart. Un gain de décibels pour nos oreilles, un gain de sensations pour les femmes.

Sauf que le portable, c'est un peu has-been. Et question hygiène, on repassera...

Pour vibrer quand on veut, où on veut et en contrôlant le tout sans avoir à se dévêtir ou faire un geste suspect en réunion de travail, il existe ceci :Le strap clit' est un ensemble d'élastiques qui se porte comme une culotte mais par-dessous celle-ci. Au centre, une forme en caoutchouc/silicone/etc généralement animale (le papillon en priorité) qui renferme un bullet de type egg et raccordé à une commande wire-less ou non. C'est souvent dispendieux (comptez minimum 80$ pour un bon modèle) et ça possède un tout-en-un puisque le bullet est détachable au cas où madame voudrait juste s'amuser manuellement ou si monsieur veut dominer durant les préliminaires (et le modèle wire-less est le plus adéquat à ce type de situation).

Niveau vibrations, on a de tout : one-shot (bon marché), 3 speed et pulsations. Pour les formes, même chose. Ca peut avoir une dimension volumineuse ou carrément miniature, épousant parfaitement le centre du vagin (le dauphin est le plus adapté à ce sur-mesure).

Pour le mode d'insertion, il y a l'externe (juste un relief) ou bien le mini-pénis (en forme g-spot parfois) :Et pour les formes, c'est papillon, dauphin, ourson et lapin.L'autre type de strap est une simple culotte où l'on fiche, au même endroit qu'un tampon ou une serviette, un bullet (et la ficelle du bullet se détache, faudrait quand même pas que ça fasse désordre...) :Vous pouvez maintenant éteindre votre portable.

D's©

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Si les Shadocks pompent dans le vide et sans réel sensation de plaisir, il n'en va pas de même pour les demoiselles qui usent de pompes, manuelles ou vibrantes, afin d'en avoir des plus gros. Mais attention, l'objectif n'est pas du tout similaire aux pompes masculines : là où l'homme cherche à gagner des pouces, la femme cherche, parfois dans la douleur (du moins, c'est ce qu'il y transparaît dans certaines vidéos - oui, faut bien se documenter !) à gagner de la jouissance tactile plus rapidement, à fleur de peau.

A) Breast pump

Tout d'abord, la poitrine. L'objet se constitue généralement d'une poire raccordée à deux tuyaux au bout desquels se trouvent deux demi-sphères de la taille d'un ballon de hand-ball et qui s'ajustent rapidement une fois que l'on pompe l'air. Bien entendu, cette gamme de jouets possède une valve de sécurité afin de libérer la femme de sa cage en plexiglas.B) Nipples pump

On se focalise à présent sur les tétons. Le jouet fait généralement la taille d'une grosse bille.

Il suffit d'appliquer le jouet sur chaque téton, de presser une fois pour évacuer l'air avant que l'opération de succion ne prenne effet, regonflant à la fois la balle de caoutchouc et le plaisir (un poil maso) de la femme.Certains enrobent tout le téton, d'autres uniquement la pointe avec des anneaux s'ajustant à la taille desdites pointes et qui y restent ensuite, à la manière d'un cock ring pour l'homme (chapitre ultérieur).Il existe aussi la version vibrante où un bullet émet une ou plusieurs vibrations dans la zone aspirée pour augmenter la sensibilité.

Voici une version simple, c'est-à-dire sans reliefs intérieurs pour titiller un téton tiraillé entre plaisir et souffrance.C) Vagina pump

C'est clair pour tout le monde ou il faut que j'explique le procédé ? Les versions basiques donnent un effet... comment dire... rosbif !Certains modèles font même un peu peur (ou rire, ce qui est mon cas) !Les versions stylisées (souvent plus petites, colorées et de formes animales notamment l'abeille) possèdent une commande pour "injecter" une série de vibrations.Enfin, on trouve aussi des modèles disposant d'une protubérance à reliefs et dotée ou non d'un bullet/commande.Bien entendu, il est fortement déconseillé de l'utiliser pour une autre partie du corps !D) Clit Sucker

On resserre l'étau pour se concentrer sur le bouton de rose. Avec pompe à poire ou à pistolet, avec ou sans vibration. J'ai testé ce modèle sur ma peau... aouch ! C'est du sérieux !Son alter ego miniature est déjà plus rassurant...Bon, allez, je retourne à ma séries de pompes...

D's©

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Salut !

Ce petit chapitre concerne les minis vibreurs qui sont à usage externe, semi-externe et interne. Je ferais un chapitre à part pour les G-spot un peu plus tard.

Lady Finger :

C'est le dinosaure du vibreur. Tout le monde le connaît car il représente dans l'inconscient collectif l'univers du sex toy. Son aspect clinique est totalement désuet de nos jours et fait de ce produit une pièce d'antiquité.Quelques fabricants tentent néanmoins de le remettre au goût du jour comme le Cheum de poche ("ne critique pas, reste discret, n'est jamais fatigué"). Mais ça reste peu vendable, malgré l'attraction portée sur le packaging...

New Lady Finger :

Deux éléments le distingue de sa grand-mêre : la tête n'est plus légèrement courbée et son apparence prend de multiples couleurs ainsi que différentes textures.

Son meilleur représentant est le vibro silk :En dehors de son matériau très doux, sa base strass et ses couleurs élégantes, c'est une vraie petite boule d'énergie ! De quoi shaker pas mal d'yeux !

Rocket Pocket :

Ce petit objet, de la taille d'un gros feutre, possède en son sommet trois petites billes métalliques enchâssées sur une tête plate. On peut l'utiliser à nu ou avec des capuchons prenant différents formes.Animals :

Il s'agit de jouets composés d'un énorme bullet enveloppé d'une couche gélatineuse prenant la forme d'un lapin ou d'un dauphin (les plus connus). Le système de fonctionnement se fait sur un socle.

La version rocket existe aussi :La Rolls : LELO

Lelo est une marque haut de gamme qui propose du jouet ultra-design pour les jeunes  bobos. Super chics, super élégants... super chers !

Les plus beaux sont Nea, le vibro bean qu'on le pose contre le vagin et les petites fusées over-sweet.Next Chapter : Les pompes !

D's©

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Egalement nommés "coco" ou "candy", le bullet est une grosse gélule électrique qui favorise le plaisir externe, voire semi-externe, plus précisément la zone clitoridienne ainsi que le pourtour du vagin (on les oublie trop souvent, ces pauvres petites lèvres !). La vibration émise, selon l'intensité et la durée, peuvent déboucher à quelques petits orgasmes ou simplement au désir préliminaire de satisfaire son (ou sa) partenaire pour des ébats d'une toute autre intensité. Les sytèmes de mise en marche varient peu d'un modèle à l'autre.Voici les principales catégories à retenir :

A) One-shot :Ces bullets, tantôt d'aspect métallique, tantôt revêtus d'une texture douce, forment la base de ce jouet. Disponible en une multitude de couleurs, le one-shot possède sur un de ses pôles un petit bouton noir. Par une simple pression, la vibration sera émise en continu. En appuyant une seconde fois, la vibration cessera.

De part sa taille et sa facilité d'usage, ce toy est extrêmement pratique puisqu'il peut se ranger et s'utiliser n'importe où : A table si la conversation de monsieur vous refroidi, en réunion de travail si l'exposé vous endort ou encore au nightclub pendant la session refresh avant d'aller faire son "marché"...

Il possède toutefois un léger inconvénient. Pour les femmes aimant l'exploration, le bullet risque de vous paraître à terme monotone. le fait qu'une seule vitesse soit disponible n'aidera pas forcément à renouveler le plaisir dans l'espoir d'obtenir de nouvelles sensations. Il n'en reste pas moins un produit sympathique et peu dispendieux pour celles qui souhaitent franchir le pas dans l'univers ludique et soyeux du sex-toy.A noter enfin que certains modèles peuvent se porter en collier comme un bijou. Et c'est loin d'être vilain !

B) 3 Speed :Comme indiqué dans le titre, ce bullet peut avoir plus d'une vitesse. Comptez en généralement " : low, médium and high. Le principe de fonctionnement peut être similaire au one-shot où chaque pression du bouton embraye sur la vitesse supérieure. Au quatrième contact, le jouet s'éteindra. L'autre système de mise en marche consiste à faire tourner graduellement une molette située au niveau du socle où sont disposées les piles (souvent plates).

Son coût, toujours abordable (moins de 30$ TTC) en fait un toy que je conseille aux béotiennes, surtout les modèles colorés. De vraies petites friandises !

C) Pulseur :On passe le cap supérieur avec le bullet à vibrations séquentielles. Au lieu de vous fournir 3 vitesses continues, il vous procurera des pulsions (séries de vibrations courtes puis longues, crescendo, etc.). Le pink candy chez Doc Jonhson est le moins cher (25$). Comptez 30 à 40$ pour les autres. Son fonctionnement se fait très souvent avec le bouton, plus simple à mon sens pour contrôler pleinement chaque vibration au contraire de la molette où vous risquez de passer d'une pulsion à l'autre trop rapidement ou par inadvertance dans l'exercice de votre excitation.

D) A fil :Rien de bien sorcier : le bullet à fil est relié à une commande permettant le 3 speed et/ou les pulsions. Personnellement, la marge de manoeuvre et de maniabilité est moins intéressante dès lors qu'un fil se  ballade dans la zone, ça fait désordre. En revanche, l'utilité de la commande revêt tout son intérêt lorsque ce n'est pas vous qui la manipulez... Il faut bien que monsieur s'occupe un peu pendant ce temps !

E) Wire less :La version sophistiquée du pulseur. On peut monter jusqu'à 10-12 vitesses pour un bullet de ce calibre !

F) Finger-shaped :

Il s'agit de bagues en gélatine ou silicone, souvent de forme animale, au sommet desquels ou non on insère un bullet one-shot ou 3 speed.G) Egg-shaped :Le bullet est plus épais, prenant une forme ovoïde proche d'un oeuf sans toutefois y ressembler totalement. Mon chouchou est le pink egg 7 vibes wire less chez Doc Johnson. La commande est très simple : un bouton on/off et un autre pour activer les vibrations.

H) Tingler bullet :

Des coco en forme de finger® (les biscuits chocolatés). Ils fonctionnent souvent à fil.I) Custom :

Vient un moment où l'impression de se titiller le bouton de rose avec un suppositoire se fait ressentir... Qu'à cela ne tienne, il existe une gamme de "capotes" extensibles (souvent en élastomère) de différentes formes et couleurs pour égayer vos plaisirs.  Cela va de l'inévitable lapin aux oreilles vibrantes à la tête de licorne ou au bec de dauphin en passant par les oreilles d'un ours.

Je recommande ceux de la marque Screaming O :Pour les non-zoophiles, il existe également des éléments dotés de reliefs (granules, stries) pour ressentir d'autres impressions.J) G-spot :Beaucoup plus long que les autres modèles et possédant une extrémité conique courbée, ce bullet one-shot/3 speed/pulseur permet d'atteindre le point G... ou pas !

K) Curiosités :

Pourquoi le bullet devrait-il rester cantonner à sa forme de gélule ? Voici, à titre d'exemple, d'autres formes pour s'amuser et camoufler ses petits désirs dans son sac à main : le rouge à lèvres, le crayon ou encore le pinceau à maquillage.L) Massage :10 à 30 fois plus gros que tous les autres, le bullet à massage ne s'utilise que pour le corps et parfois les zones érogènes, le tout en externe. La sensation semi-interne est possible pour quelques spécimens mais au-delà, passez plutôt à l'American Great Challenger (j'en reparlerai dans le chapitre pénis) si d'énormes envies vous passent à l'esprit. Le tout à vos risques et périls car connaissant les bestioles, c'est carrément violent, limite suicidaire pour les modèles Jumbo !


Fin de ce billet, j'espère que cela vous aura plu. Avec ce panel de bullets, je pense que ces mesdames ne risqueront pas de se tirer une balle dans le pied mais de le prendre à fond, tout simplement !

Next chapter : les mini-vibreurs, pour une transition interne en douceur... avant les big vibes !

D's©

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C'est que ce ... quoi ? / Open Space : Un opéra d'orgasmes !
« le: 31 Janvier 2010 à 20h20 »
Comme cela m'avait été demandé, voici donc une section entièrement consacrée aux sex-toys ! Tout, vous saurez tout sur les vibreurs, les bullets, les cock rings, le bondage, les pompes, les dolls, les substituts, les plugs, les énergisants, les huiles, les lub', les strap on et bien d'autres encore !

Les chapitres suivants formeront 4 grandes parties qui seront, grosso modo :

1) FEMMES

a - Bullets
b - Mini vibro
c - Pompes
d - Straps clito
e - Geisha balls
f - Curiosités
g - Vibreurs 3 speed
h - Pénis
i - Vibreurs améliorés
j - Strap On
k - Dong
l - Lap Dance

2) HOMMES

a - Cock rings
b - Extensions
c - Customs
d - Pompes
e - Substituts
f - UR3
g - Dolls
h - G-spot

3 ) UNISEX :

a - Plugs
b - Fetish Fantasy : BDSM
c - Board games
d - Jokes

4) PHARMACIE

a - Energisants
b - Désensibilisants
c - Aphrodisiaques
d - Crèmes
e - Lub'
f - Huiles
g - Poppers
h - Sweet secretions and othersBienvenue dans un univers open space, où rien n'est dissimulé derrière un rideau pourpre.

Bienvenue dans un univers open space où la vitrine montre réellement ce que la boutique possède.

Bienvenue dans un univers open space où la lumière tamisée n'a pas sa place.

Bienvenue dans un univers open space où les vendeurs sont dynamiques, jeunes et non de vieux obsédés planqués derrière leur comptoir.

Bienvenue dans un univers open space où le sexe est un jeu et non une déviance glauque pour les violeurs et autres acheteurs de DVD hardcore (gonzo, inceste, ...).

Bienvenue dans un univers open space où la clientèle est très variée, du jeune de 18 ans au vieux de XX piges, en passant par les couples homos, les belles célibataires et les échangistes mondains.

Bienvenue dans un univers open space où je vous guiderai jusqu'à vous noyer dans un océan de délectations vers les profondeurs abyssales, tantôt sucrées, tantôt colorées, des fondements humains !D's©

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Saint-Champlain, priez pour nous ! Au début des années 80, Lynda Tremblay parti en mission pour évangéliser les intérieurs esthétiquement arides du Québec d'en bas, sordides huttes de branchages et de torchis moisis où le Caribou se faisait bousculer sa vertu par des âmes errantes plus sapiens qu'homo, le tout depuis l'exode massif des femmes vers les grandes villes pour décrocher Polytechnique avec le risque de se prendre un coup de Saint-Marc© ! (humour noir d'icitte...)

Lynda, une choucroute vandamienne honteusement négligée par la nomenklature poutinienne, Lynda disais-je donc, vaut des galons de beurre de cacahuétes ! Cadrage soigné d'une implacable finesse, montage avant-gardiste aussi porteur qu'une séquence de Woody Allen, textes savamment aiguisés, réactivité hors-pair. Et que dire de la décoration ?

Décoration Lynda avec Lynda Tremblay Normal | Large


Non, rien ne doit être jeté ! Dés les premiers mots, on sait qu'on tient du lourd ! Impossible de décrocher...

Bonjour, ici Lynda, designer a la Compagnie Tremblay ... Avez-vous remarqué que tôt ou tard, on se retrouve au Bois Dormant ?

Fuckin' CULT !

Pour ceux qui voudraient combler de louanges dythirambiques cette Grande Dame du bon goût, sa Mecque-succursale se situe dans la ville de La Baie-Saint-Paul.

Aprés avoir émaillé les années 80, pas si pires que chez nous, elle continue de nous offrir de délicieux conseils car, il faut bien le dire, un tel talent ne doit pas être caché/gâché (prêtez l'oreille lorsqu'elle définit le "romantisme temporaire"...)!

Décoration Lynda Tremblay 2007 (1) Normal | Large


Elle n'est pas toute seule dans sa tête... !

D's©

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J'ai eu une semaine de travail assez intense, raison pour laquelle je n'ai pas eu le temps de donner d'autres nouvelles outre-atlantique !

Après la bouffe et l'habillement, place aux petits plaisirs ! Petite sélection personnelle :

Envie d'un bon brunch ?Sous ses allures de cantine US, additionnée d'une ribambelle de couleurs, la chaîne de restauration propose des menus aux airs bonhommes capables de vous caler un estomac en deux-deux. J'affectionne particulièrement la formule "Spécial Cora". Ce grand classique se compose de pommes de terre, d'une saucisse, de bacon, de deux oeufs au plat, d'une tranche de melon, de bagels grillés, de sirop d'érable et de cafés à volonté.Il en existe un sur Mont-Royal (Bus 97, près du métro Mont-Royal, ligne orange) et un autre sur Du Parc (bus 80 depuis le métro Place des Arts, ligne verte). L'endroit et l'accueil y sont chaleureux. On y passe un très bon moment. Une adresse à visiter sans commune mesure ! Attention à ne pas s'y rendre après 11H, c'est noir de monde et on y fait la queue en dehors, même en plein hiver ! C'est vous dire la notoriété non volée de Cora !

Envie d'un excellent chocolat ?C'est FABULEUX ! Les chocolats chauds ne se boivent pas mais se mangent à la cuillère ! Les fondants sont à tomber et les odeurs vous transportent ! 20/20 !

Envie d'une (bonne) grosse poutine ?Situé sur Rachel, non loin de l'angle Papineau et du Parc La Fontaine, ce restaurant demeure la place-forte de la poutine aux yeux des touristes. The must have eaten quand on débarque et qu'on ne connait rien de ce plat québécois. Avec le recul, et lorsque l'on côtoie des montréalais qui vous proposent de bien meilleures adresses, La banquise reste au final un endroit à faire au moins une fois dans sa vie.

Ci-dessous, la poutine T-Rex qui propose tous les ingrédients dans un seul plat. Bon courage pour terminer cela si vous ne venez pas à jeûn !Envie d'une bière dans un lieu sympa ? Celui-ci n'est qu'à une centaine de mètres du fameux pub Les foufounes Electriques mais possèdent plusieurs avantages :

- Moins de monde (Aux Fouf' Elec', c'est pire qu'entrer au Rex Club un Samedi soir entre 22h et minuit !)
- Moins d'ados et de pisseuses (Des Kate Moss de 18 ans ou des Loverboys puant la fragance de supérette...)
- Moins cher
- Quand on prend le temps de faire connaissance avec les serveuses, on se dit "mais pourquoi aller ailleurs ?"

Un autre :L'enseigne fabrique ses propres bières toutes aussi originales les unes que les autres et les tarifs incluent les taxes ! Je conseille particulièrement la Bière du Boucanier (Arôme de café rôti et délicatement chocolatée).

Envie de manga ?Chassez donc le naturel, il reviendra au galop ! Ce n'est pas demain que je vais cesser d'en lire même si ma consommation s'est considérablement réduite (1 achat mensuel contre 15-20 il y a deux-trois ans !). Il faut en revanche s'armer de patience car le décalage entre les sorties en France et au Québec est important. Comptez au moins deux mois d'écart minimum (ex : tome 28 d'Ippo acheté la semaine passée alors que le 30 vient de sortir en France).

La boutique est minuscule, on se croirait presque dans celle de Junku du début des 90's où ce n'était qu'un long couloir mal éclairé et franchement undergound ! Question tarif, une évidence s'impose : lire un manga au Québec, c'est bourgeois ! Pour un tome d'Ippo, l'un des titres les moins chers du marché, on passe de 6¤ à 10¤. Je vous laisse imaginer les autres...

Il existe un autre endroit bien fourni en manga et situé à Laval, plus précisément dans le Centre Commercial Carrefour-Laval : Renaud-Bray.

Envie d'un sauna au sens européen du terme ?

Si vous n'êtes pas adeptes de l'échangisme, passez votre chemin. Tout endroit mentionnant le mot "sauna" n'est rien d'autre qu'une boîte à partouzes. Les plus connus sont L'Auberge 1082 sur Rosemont (hétéro) et *prend une voix rauque* Le GI-JOE, pour les vrais hommes virils en quête de sensations fortes (ouch !) sur Sainte-Catherine (le village gay, plus précisément). Si je parle de ce "sauna" gay, c'est pour indiquer que j'ai failli y bosser mais une main tendue m'a permis d'éviter le pire car je ne savais rien de ce type d'endroit au départ ! J'ai échapper à quelque chose, je peux vous l'assurer !!A une prochaine !

D's©

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Se vêtir, c'est important. Nombre de gens pensent qu'il faut s'emmitoufler dans 36 couches pour résister au froid. Il n'en est rien. La qualité de plusieurs produits peut remplacer un gros pull par exemple. Mais où trouver tout cela sans se ruiner ?

SimonsDerrière cette enseigne prestigieuse se trouvent une gamme d'habits allant de 10 à 1000$. Les seules choses qu'on n'y trouvera pas sont les chaussures (sauf les chaussons) et les articles pour les moins de 18 ans. La qualité est au rendez-vous et le client est choyé. Si un morceau ne lui convient pas (taille trop grande ou petite, coloris non désiré, cadeau refusé), il est soit remboursé dans sa totalité ou bien il peut l'échanger contre autre chose du même montant ou moins (on lui rend la différence en cash) voire plus (il paye la différence). Avec la Baie, cette chaîne est l'une des rares à donner toujours raison au consommateur, pourvu qu'il lui soit fidèle par derrière, ce qui est véridique à bien des égards...

WinnersCette enseigne porte bien son nom. Située près du métro Atwater et au Centre Montréal Trust (Métro Peel), Winner vous offre du rabais non-stop. Son stock consiste en de vastes liquidations de collections de grandes ou petites marques. Levi's, Tommy Hilfiger, Buffalo, Lacoste, Monarchy, Rock&Republic, Plain Jane, Puma, D&G, etc... Tout est disponible, depuis les chaussures de ville en passant par les cravates ou les après-skis. Les prix sont généralement appétissants et offre des rabais allant de 30 à 80% ! Impossible de sortir d'une boutique sans acheter quelque chose ! J'y ai fait mes plus grosses emplettes : un jeans, des t-shirts, un pull, des chaussettes en laine, des gants, des baskets et un masque de ski.

PayLessShoes StoreMême concept que Winners mais uniquement pour les chaussures. Moonboots Airwalk à moins de 50 piasses, une affaire ! Mon modèle est identique à l'image sauf que ce ne sont pas des étoiles mais des petites têtes de mort souriantes.Les liquidations

Le marché nord-américain est archi-développé et quand une boutique ouvre, 1 autre ferme. Il y a donc souvent des endroits où l'on procède à un rabais de liquidation avant fermeture. Cela peut être une boutique de bagages, une de chaussures ou bien un sex-shop (!). Il suffit de se promener sur les grands axes commerciaux pour en dénicher quelques-unes.

Les rabais et les spécials

Ce n'est pas une règle générale mais lorsqu'une collection reste trop longtemps en nouveauté et se vend moyennement bien, il existe un procédé simple et efficace, quasi-rare en France :

1) Le Spécial : c'est une solde de 20 à 30% sur des articles ayant un mois d'existence afin de voir si une chute du prix attirera les consommateurs. Ce tarif peut rester plusieurs semaines si les produits visés marchent mieux ainsi.

2) La vente au rabais : Lorsqu'un vêtement mis en spécial se vend mal, il est violemment soldé. Revoyez mes exemples dans mon billet Boxing Day pour mieux savoir. L'autre motif d'une mise au rabais est un manque de place pour les nouveautés. Au lieu de stocker en arrière-boutique jusqu'à une solde en hiver et en été, tout est placé dans un secteur en fin ou début de département afin de s'en débarrasser. Les habits qui sont concernés sont ceux ayant au moins 3 mois d'existence sur le plancher, qu'ils se vendent bien ou non.

Comme je le disais dans mon premier billet, tout est vendable, rien n'est stocké, on cherche toujours à se débarrasser pour mieux placer la nouveauté et garder un maintien sur le consommateur. Vu comme ça, cela peut paraître effrayant mais le système offre énormément d'avantages à ce qui débarquent et doivent se vêtir en conséquent sans voir leurs économies filer comme la nuit...

Il existe encore bien d'autres grosses boutiques comme Zellers, Aldo, Les Ailes (sauf mon pull-manteau, 40 piasses au lieu de 80) ou La Baie mais n'y ayant jamais fait mes emplettes ou n'y traînant pas trop mes guêtres, je préfère ne rien dire.

D's©

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Avec l'hiver rude que nous traversons, bien manger est indispensable pour ne pas faire un crise d'hypoglycémie. Ce qui fut mon cas hier (sauter un repas se ressent tres vite !)...

Le Canada en général et Montréal en particulier fournissent une batterie de services en mitaines et energizing drinks. Quels sont les bons plans ? Comment allier prix et qualité ? Viande ou poulet ? Carcajou ou Grizzli ? Voici ma petite sélection :Moins cher, tu meurs ! Comme son nom l'indique, tout (disons 90%) est a 1$ !!
Et on y trouve tout ce qu'il faut pour faire ses premiers pas : assiettes, linges de maison, fournitures scolaires, bougies, enveloppes, poubelles, couverts, bureautique et j'en passe. Il existe aussi un stand bouffe avec l'essentiel : pains en tranches, pâtes, sauce, potages, nouilles, conserves, bonbons, jus d'orange et gâteaux. Attention, tout n'est pas de qualité mais ca dépanne beaucoup au départ !On en trouve partout sur Montréal comme icitte sur le Plateau, proche de l'angle Mont-Royal/Papineau :Aucun rapport avec les mousquetaires de l'Hexagone.  On y trouve ce qu'il faut a prix correc'. Les fruits et légumes sont de qualité. Tres rares sont les produits frais importés de France. L'Amérique latine et la Floride sont les plus gros fournisseurs. Quoique cette derniere fait présentement face a une grosse vague de froid qui est en train de détruire une partie des récoltes. Cela va se ressentir prochainement dans les tarifs...Il existe aussi Métro (tres dispendieux) et IGA (correc') qui proposent les mêmes aliments (il n'y a que certaines marques qui changent). Petit inconvénient général : on trouve plus souvent des aliments en pack family qu'en petites doses. Je prend le cas des sauces pour pâtes. 3$ pour un pot 800 ml contre 6$ un small... fait chier' y a presque rien en pesto en king size ! Idem pour les sodas, 2  litres partout et 1 litre de temps en temps...Yeaaah, Canada Dry !

Les aliments cheaps et bons :

- La marque "No Name" : pains en tranches de temps en temps et légumes en conserves. Je déconseille les produits frais.- La marque "President Choice" (Le Choix du Président) : gâteaux, beurre de cacahuétes, jus de fruits et condiments ont été testés et approuvés.- La viande : Moins dispendieuse qu'en France ! Un rumsteack de 200gr ne vous coûtera environ que 4 piasses (moins de 3 euros).

- Wendy's !! :waouh: (cf. le billet sur la Junk-Food)

- Les pains bios et quelques-uns industriels comme Bon Matin :- Le beurre de cacahuetes bio Yum en version Crunchy !!

- Lucky Charms :Et sa version chocolat (j'en connais une qui va vouloir dévorer son écran pour les avoir...)- Les grosses gommes pour faire de vraies bulles comme qu'ils font les joueurs de baise-balle !Les aliments dispendieux ou a éviter :

- Poulet : Mine de rien, la volaille survit mal durant le Grand Froid, d'où son tarif parfois exhorbitant...
- Vins de France : C'est l'occasion de boire les autres (Chili, Argentine, Californie)... et c'est pas pire !
- Saucisses type Francfort : Overdose de cholestérol, que du chimique pour faire ses chiens chauds... ca ne vaut pas une fine Herta !
- Les friandises trop cheap a Dollarama : dégueulasses !
- L'eau minérale de France ou d'Italie : deluxe water please !
- Charcuterie : le jambon ne l'est que de nom et le choix est tres limité...
- Fromage de France : deux a trois fois plus cher qu'en France. Si vous n'êtes pas un fondue de camembert ou de brie, vous passerez l'épreuve sans trop de dommage. Les produits locaux ne sont pas toujours simples a trouver et les marchés sont les meilleurs moyens pour faire connaissance avec le terroir. Le must observé icitte est un camembert emballé dans... une boîte en conserve ! Tout comme c'est le cas au Japon ou en Corée du Sud :Prochain chapitre : se vêtir. Et les clopes pas chers plus tard...

D's©

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Quand on parle de transports en commun, on pense très souvent aux mauvais côtés : grèves mensuelles (voire bimensuelles selon quelques lignes), retards en pagaille, boîte à sardines, stress, agressivités, puanteurs (lignes RER sur Châtelet - Les Halles), nuisances sonores (Palme d'or pour la ligne 7 entre Place d'Italie et Kremlin-Bicêtre) et poubelles.

En serait-t'il de même à Montréal ? Pas vraiment.Voici l'équivalent de la RATP à Montréal. La majeure partie des images viennent de ce site que je vous invite à consulter pour avoir les informations détaillées sur chaque ligne.

Qu'en est-il du réseau ? Tout d'abord, sa composition :

Métro : 4 lignes qui ne couvrent qu'une petite moitié de la ville. Le reste est pris en charge par plusieurs lignes de bus. Chacune d'elles est repérable à sa couleur. Toutes les stations sont souterraines, ce qui est assez rare pour être souligné !

Ligne Orange :

Elle couvre les trois-quarts du réseau avec des correspondances vers les trois autres lignes et emprunte les plus gros quartiers depuis Laval en passant par Rosemont, Le Plateau, le Centre-Ville, le Vieux-Montréal, la zone anglophone et Outremont.Ne vous fiez pas trop à l'image ci-dessus car elle ne tient pas compte des nouvelles stations ouvertes en 2007 qui vont au-delà d'Henri-Bourassa. Je l'emprunte tous les jours, vivant à proximité d'elle.

Sa station emblématique est Berri-UQAM, sorte de station Châtelet qui forme le noyau du réseau :Ligne Verte :L'autre grosse ligne qui dessert les principaux centres commerciaux entre Berri-UQAM et Atwater. Elle est très utilisée des anglophones puisque son terminus Angrignon plonge au c½ur de leur quartier.

Station-phare de la ligne : Mc Gill (prononcez May Gill) :Vous voyez les espèces d'écrans sur les côtés ? Il s'agit de MétroVision, la chaîne télévisée muette du métro et présente dans les grosses stations, surtout au niveau de la Verte.Elles fonctionnent par rétroprojecteurs. Les indications permanentes sont :

- Heure
- Date
- Température
- Temps
- Qualité de l'air
- Temps restant avant la prochaine rame et celle de derrièreEnsuite, ce sont des flash d'infos souvent trop vagues (national, international, finances, cultures, sports), la météo des trois prochains jours, les trucs à voir, lire ou écouter (le dernier album de Pearl Jam, une expo sur Waterhouse au musée des Beaux-Arts, Avatar, ...), des pubs (y en même eu une sur le sex-shop Sex Cité ! Tout est permis tant que ça permet de faire fonctionner le commerce et de gagner des sous pour les diffuser !) mais aussi des messages civiques comme le don du sang ou encore des jeux (rébus). Ca aide à patienter parfois... mais pas toujours car à la longue, certaines séquences mercantiles provoquent l'overdose.

Tant que j'y suis, parlons du système d'affichage des pubs. Ce qu'on peut trouver à Paris lors de quelques événements majeurs dans le monde de la Consommation est perpétuel icitte. Les murs sont couverts de stickers géants qui restent environ une à deux semaines sur place, voire plus comme c'est le cas avec l'opérateur mobile Telus qui occupent murs, piliers, panneaux et tourniquets de la station Mc Gill depuis plus d'un mois (quand on a les moyens, on ne compte pas !). Impossible de les rater. Guy Debord aurait fait un infarctus... je me sens agressé même si je trouve le résultat impressionnant... l'affichage traditionnel derrière des panneaux en plexiglas passe pour une broutille quand on est assommé jour après jour par ces "vitraux" ! D'ailleurs, la publicité est la cathédrale des Temps Modernes. Un lieu d'images peu pieuses et d'évangiles tarifaires pour les simples d'esprit...

Voici à quoi ça ressemble en général via Apple :Une invasion rétinienne et un coma pour les porte-feuilles incapables de faire preuve de résistance.

Même l'Eglise se sert de ce média souterrain pour faire passer ses messages ! Vous imaginez la même chose à Paris ? Non ? Vous avez raison. C'est aussi ce qui différencie la Nouvelle Amérique de la Vieille Europe. Je rédigerai une autre fois un billet sur la religion à Montréal car toutes les sous-obédiences chrétiennes y sont sans oublier les sectes comme la Scientologie qui a pignon sur rue !Ligne Bleue :Elle prend surtout en charge les quartiers populaires autour de Jean-Talon et Outremont. Je n'y suis allé que deux ou trois fois.

Voici l'entrée du métro Jean-Talon, place réputée pour son immense marché que je n'ai pas encore fait mais dès que ce sera le cas, j'en causerai plus amplement.Ligne Jaune :La plus petite qui permet de rejoindre Longueuil. Jamais prise.

Les rames de métro :

Quelque soit la ligne empruntée, elles sont toutes identiques. Je m'attendais à une rame en harmonie avec la couleur de la ligne traversée... et en fait :Identiques. 40 ans d'âge et toutes sur pneus. Mais il est question de moderniser les rames dans un futur proche...

Et voici l'intérieur :Bien, revenons aux faits :

- Grèves : Rien en vue. Lorsque cela se déclare, ça ne dure pas plus d'une demi-journée, le temps pour les salariés de poser leurs doléances auprès des responsables avant de retourner au travail. Tout simplement. Revendiquer oui, mais pas au détriment de l'usager et aussi pour ne pas se faire trop sucrer ou se faire licencier pour donner l'exemple à toute forme de laxisme prolongée. C'est pas près d'arriver en France, tiens !

- Retards en pagaille : Quelques-uns, jamais longs.

- Boîte à sardines : Même aux heures de pointes (8h et 17h) on n'est jamais serré. les gens ne forcent pas pour rentrer en poussant. Il y a du monde ? Tant pis. Attendons le prochain calmement. Car si les québécois ont compris une chose, c'est que plus on forcera, plus la rame mettra du temps à partir et plus la suivante tardera à venir. Rester efficace, ça fait aussi partie du boulot des voyageurs. Encore un exemple de savoir-vivre impensable en France...

- Stress : Rare. Plutôt le soir, quand les gens sont pressés de rentrer et qu'ils sont attendus dans un pub. Mais c'est assez faible et pas contaminant.

- Agressivités : Idem. Et question politesse, les Français devraient prendre exemple sur eux : ils attendent sagement que les gens sortent avant de rentrer, les jeunes laissent volontiers leurs sièges aux seniors ou encore des excuses parfois démesurées s'échangent entre deux usagers qui se sont cognés lors d'une montée.

- Puanteurs : A part aux alentours des quais avec les itinérants, rien à signaler non plus ! A noter que ceux-ci ne sont jamais dans les rames (ou alors ils empruntent les premières et les dernières).

- Nuisances sonores : Dans la norme. Ca ne m'a jamais empêché d'écouter ma musique.

- Poubelle : Nada. Sur ce point, la STM s'est équipée de trois types de poubelles : déchets communs, le recyclable et les containers exclusivement réservés aux gratuits (Métro et 24h).

Vous allez me dire : "Mais c'est le paradis sous terre !"

Je n'irais pas jusque là car le réseau est has-been dans sa décoration : du carrelage orange comme on peut encore le trouver dans quelques stations parisiennes, des espèces de vitraux démodés dans leurs styles et un manque d'inspiration pour distinguer les 3/4 des stations. Bref, 40 ans sans jamais avoir changé de fringues, ça commence à faire long !

Bus : Les lignes sont nombreuses et couvrent bien la ville et roulent même sous 30 cms de neige. Pas grand-chose à dire là-dessus sauf sur deux points :

- Les gens forment une ligne le long du trottoir à chaque station : premier arrivé, premier à rentrer. A la file indienne et pas de tricherie !

- Les stations de bus n'ont pas vraiment de nom. Les arrêts se font à chaque carrefour donc tous les 20-80 mètres. Au début, on est complètement perdu mais une fois qu'on se fabrique des indices visuels (une enseigne Mc Do, un pont, etc...), c'est simple.

Je sais que j'ai oublié des choses et vais faire confiance à vos commentaires pour m'en souvenir !

Terminus de ce billet ! Merci d'avoir choisi Noisen-Réseau ^_^

D's©

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En quittant la France, je laissais derrière moi deux icônes du burger way of life : Quick® et Mac Donald's®. En arrivant au Canada, je savais pertinemment trois choses :

- Le choix des fast-foods est plus riche. 5 pour le Canada.
- Les menus sont plus imposants. Un Grand Format équivaut icitte à 1 litre de soda et une véritable Grande Frite !
- Les prix sont plus convenables avec une moyenne d'environ 6-7¤.

Voici le podium des différentes chaînes testées :


Junk Winner =Non content de fournir des burgers identiques aux affiches, cette chaîne américaine propose une large gamme de salades pour ceux qui seraient peu enclins à devoir dévorer a huge Baconator :Ou un Triple Burger :You're right Dude, i'm not a man. J'ai dû torturé mon estomac pour finir cela. Une fois, pas deux ! Quand je pense qu'il existe le Quadruple aux États-Unis... !

Seul inconvénient au tableau : Les 2 Wendy's recensés sont au Nord et à l'Ouest de Montréal. Rien en centre-ville. Il faut donc se déplacer (métro et bus) pour avoir envie de s'y rendre. L'autre, près du terminus Montmorency est "inaccessible" dans le sens où il est hors de ma zone de métro (4 à 5 stations n'appartiennent plus à la zone montréalaise mais à celles de Laval et Longueuil). L'image suivante présente la succursale à proximité des Galeries d'Anjou :Ce détail passé, les Burgers tiennent au corps et ne réclament aucune assistance ultérieure. Là où Mc Do donne faim 3-4h plus tard, Wendy's vous cale jusqu'au souper, finger in the nose. La viande est tendre (des fois assez épaisse) et le pain a un goût... de pain !


Junk Challenger =Je n'en ai observé que deux : l'un dans le quartier maghrébin à l'ouest du marché Jean-Talon (Nord). L'autre en centre-ville, près de Sainte-Catherine. Le système de service est assez identique à Subway (je pense que ce dernier s'est inspiré d'Harvey's). On vous demande la cuisson de la viande, les légumes et si vous voulez de la sauce avec le tout. Eh bien un burger sans sauce, ça vous change la vie ! On a enfin un vrai goût avec les aliments que l'on souhaite ! Là aussi, la viande est épaisse et les légumes ne sont pas juste une pauvre feuille de salade ou une maigre tranche de tomate. A côté de cela, on peut avoir en accompagnement de la salade, des rondelles d'oignons frits ou bien les classiques pommes-frites.Inconvénient : Contrairement à Wendy's, on peut vite se lasser de cette chaîne car la gamme des burgers est plutôt restreinte.


Junk Weird =Un aux Galeries d'Anjou( encore!) et un autre dans le petit centre commercial Place Dupuis près de la station Berri-UQAM. Rien à signaler excepté l'épaisseur dingue de la viande :Mythe ? Non, réalité :C'est assez bon mais la viande en question a un goût étrange.... comme recomposée...


Junk Outsider =Comme bon touriste nostalgique des 80's, mon premier burger fut chez le King. Mes (lointains) souvenirs parisiens et mes récentes expériences londoniennes m'y obligent. Mais voilà, déception. Trop bourratif, difficile à finir. Les frites s'en sortent bien avec peu de sel et beaucoup de croquant.

En revanche, la chaîne s'est mise au diapason avec la gastronomie locale. Jugez-en l'image prise dans le seul Burger King de Montréal situé en plein air (et non dans un centre commercial comme ses congénères) :Une pub marrante en bonus (et assez vraie quand on tiens un triple whopper entre les mains) :Junk Legen... wait for it... DARY ! =On ne pourra jamais retirer quelque chose à cet empire. Ses burgers ont clairement un goût unique. Les trois précédents ont pas mal de similitudes dans les sauces et l'aspect global des burgers.

Fin novembre, la chaîne lançait sur Montréal une publicité des plus visibles pour annoncer que l'on pouvait boire gratuitement des cafés chez eux pendant une semaine. Je ne me suis pas privé ! Double espresso à foison !

Avantage : On y trouve le double Big Mac. Plein les babines, ouah !
Voilà à quoi ressemble un menu grand format :Avantage 2 : Ils sont tous ouvert 24h/24h ! Il y en a un à 5 min à pied de mon domicile.

Inconvénient : Quand on sort, on a faim au bout de 3-4 heures...


Junk Fake =Je ne le considère pas tout à fait comme un burger style même si ça reste un sandwich conçu selon des critères internationaux. Les tarifs sont sidérants par rapport à la France. Non seulement le 6 et 12 pouces sont au moins 3 ¤ moins chers mais quand on demande dans le combo (menu) avec le coke, on ne reçoit pas un mais deux cookies !


Junk suck =J'ai pas lové tant que ça. Un sous-subway très cher. En combo, on grimpe vite à plus de 10$. Dommage car le sandwich 12 pouces miel et poulet est bon.

A côté, il existe une pléthore de bouffe rapide en version asiatique et italienne...

Pardon aux estomacs sensibles et bon appétit aux autres !

D's©

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