Messages - Nao/Gilles

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Naologismes / J'ai lu, j'ai fini, j'ai angoissé...
« on: 14 January 2005 à 0h59 »
Je vous parle bien entendu du volume 36 de Jojo publié chez J'ai Lu (non, ça n'était pas assez clair ?). Remise en contexte : je suis raide-dingue de Jojo, depuis les OAV vus il y a une dizaine d'années, et parce que le manga était traduit par un ami (j'aime bien acheter ce qu'il traduit... et puis je me suis pris au jeu). Hier, j'étais surpris de ne pas voir le nouveau Jojo chez mon libraire, il me semblait que ça faisait longtemps que le 36 était sorti... J'ai réouvert ce dernier, et j'ai relu la fin... et constaté avec horreur que la publicité pour la série, présente habituellement à la fin, n'y était plus.

Je me précipite par instinct vers la troisième de couverture, annonçant les prochaines parutions : argh ! Jojo n'y est pas ! A la place, une obscure série, "Le loup du stade", volume 1... Littéralement pris de panique, je me précipite sur ce site où j'avais entrevu l'intégrale de la saison 4 en anglais... Ah, le voilà. Je télécharge tout... Voilà, je vais quand même pouvoir la finir, cette fichue saga-qu'elle-est-géniale. Je jette un oeil aux archives de fr.rec.anime... Ils ne parlent pas de Jojo récemment... Ah, voilà. Octobre 2004, discussion sur l'arrêt de la série... Et voilà, c'est confirmé. Et puis je remarque qu'il y a une page 2 à la discussion, "oops". Et un message de la part de J'ai Lu : "la suite aura du retard suite à des problèmes de planning et de fabrication, mais la série reprendra en mars".

Je n'aurai qu'un mot à dire :

OUF.

(Et si tu ne t'y tiens pas, J'ai Lu, je te prépare une poupée vaudou avec les restes des mangas traduits par Roger Marti, gnéhéhé !!)

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Naologismes / Comme au bon vieux temps...
« on: 13 January 2005 à 20h23 »
Ah là là, ça fait toujours plaisir de trouver soi-même-tout-seul-comme-un-grand les infos qui nous excitent... Même si Daidai a pris la relève pendant Ring ni kakero, étant donné que Xenosaga n'a pas l'air de l'inspirer j'ai repris la main pour cette série...

Et tout ça pour dire quoi ? Ben... Ben... Hoplà, j'ai le staff principal (et les titres) des six premiers épisodes, youpi... ^^ J'ai donc mis à jour l'encyclopédie de Cyna avec tout ça. Mais je vous connais mes petits canailloux, vous êtes surtout intéressés par le staff en rapport avec Saint Seiya... (Comment ça, même pas ?! Grmpf...)

Le voici donc : pour l'épisode 2 (et tous les épisodes pairs, en fait, Yukiko Iijima d'Hadès et du Tenkai s'occupant des épisodes impairs), le directeur artistique est Mitsuharu Miyamae (Tenkai). Le directeur de l'animation est Futoshi Higashide, vu sur Hadès, le Tenkai et Rinkake. L'épisode 3 est mis en scène par le grand Hiromichi Matano, un éminent collaborateur sur Saint Seiya TV, qui avait fait son retour par la petite porte sur Rinkake épisode 7. Pour ce qui est de l'épisode 4, on notera le story-board réalisé par Ken Ôtsuka, qu'on ne présente plus. Bon, d'accord, B'T X-Hadès-Tenkai-Rinkake.

L'épisode 5 est plutôt destiné aux fans de Rinkake, avec Shinji Ishidaira et Eiji Ishimoto aux commandes. Enfin, l'épisode 6 est peut-être le plus excitant pour moi, avec au story-board le grand retour de Tomoharu Katsumata, mythique réalisateur de Waga seishun no Arcadia (Albator 84, le film), qui avait travaillé sur Saint Seiya TV et tiré sa révérence de l'univers Kurumada à l'épisode 47, qui comme son nom français l'indiquait, était "une fin digne d'un prince". Youplà. Par contre, je vais finir par m'énerver sur leur manie de choisir des titres d'épisode en deux kanji, qui représentent un mot à chaque fois, ou plutôt un concept qu'il est difficile d'adapter en un seul mot... Mais tétu comme je suis, j'ai pour l'instant plus ou moins réussi à adapter les titres des six premiers épisodes en un seul mot. Leurs traductions littérales sont dans les résumés.

Pour les flemmards, tout est repris ici. Bon, moi je retourne bosser... ;)

PS : à noter pour ce soir si tout va bien, l'arrivée d'un dossier permanent sur Cyna concernant les news globales sur l'univers Kurumada et Yamauchi. Je suis dessus, mais je ne suis pas près d'en finir ! Il faut dire qu'il y a beaucoup de rumeurs intéressantes à y dévoiler, gnihi... ;)

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Naologismes / L'excitation à son comble !
« on: 6 January 2005 à 22h29 »
Ca y est, j'ai pu jeter un oeil à Xenosaga, The Animation ! Alors en bon Naoki que je suis, je me suis surtout précipité sur le générique de fin où j'ai pu dénombrer 2 animateurs de Hadès, 2 du Tenkai, 3 de Rinkake et un qui a bossé sur à peu près tout (TV, Abel, Hadès, Rinkake, Tenkai). Pas mal, hein ?!

Forcément, comme je m'y attendais, c'est très bien dessiné. Là où je suis plus surpris, c'est que l'animation est par moments largement au niveau d'un OAV ! On est loin de Rinkake et ses production values foireuses... La musique a l'air également d'un tout autre niveau. Même si je regrette énormément l'absence de Yasunori Mitsuda au générique (comment remplacer des musiques aussi sublimes ?!), le petit nouveau se débrouille très bien avec un soundtrack symphonique qui a l'air très varié et puissant. Bon, là maintenant je vais me regarder du Sex & The City, donc pour la critique de Xenosaga ça ne sera sans doute pas pour aujourd'hui, désolé... ;) En attendant, vous pouvez aller consulter le staff de l'épisode 1 ici, sur Cyna bien entendu ! ;)

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Ca y est !!! Après des semaines, des mois, des saisons entières de travail, le ravalement de façade intégral de mon site pro est terminé !! Je vais enfin pouvoir me consacrer à mes loisirs, euh... Non, à mon vrai boulot... Zut ! Oui bon, c'est quand même déjà une bonne chose de faite ! ;-) N'hésitez à me faire part de vos remarques sur le design et autres bêtises ! ^^

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Naologismes / Bonne année 2005 !
« on: 2 January 2005 à 16h17 »
Je suis en train de m'extirper progressivement de l'état de décomposition avancé dans lequel je m'étais retrouvé hier soir après trois soirées de réveillon... ;) (Une chez des amis, une chez moi, et une chez la famille de ma copine.) Je n'aurais jamais cru dire ça, mais : "ouf, c'est fini les fêtes ! Au boulot, youpi !" ;-)

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Naologismes / Xenosaga approche...
« on: 28 December 2004 à 12h59 »
Ca va, vous avez tous passé un joyeux Noël ? Oui ? Ben tant mieux, moi aussi. Bon, OK, j'arrête les trucs de blog, on n'est pas sur un blog. Ah, si ? Bon, ben de toute manière je vais pas vous parler de mon délicieux réveillon mais de Xenosaga. Ca en intéressera un ou deux de plus. Encore huit jours à attendre. Pour l'occasion, les diffuseurs ont lancé des versions améliorées de leurs sites utilisant des illustrations très réussies de Nobuteru Yûki.

TV Asahi fait juste une page simple reprenant l'illustration principale, tandis que la Tôei ajoute plein de choses... Le site est refait en flash (bof...), avec la même illustration en beaucoup plus gros et plus impressionnant en introduction. Si je puis me permettre, KOS-MOS va rapidement se trouver des fans... ;)

Côté staff, on remarquera (bon... JE remarquerai) l'ajout d'un nouveau producteur, Tomo (Satoshi ?) Matsui, pour Happinet Pictures. Il s'agit d'un éditeur vidéo, à l'instar de Bandai Visual. On sait donc maintenant chez qui la série sortira... ;) Ca ne change pas grand chose à du Bandai : ils savent eux aussi faire du pas cher (La panthère rose, des DVD 80mn à 1900 yens) comme de l'exorbitant (Chrno Crusade, 2 épisodes TV pour 7800 yens).

La partie "Story" ajoute une illustration inédite très sympa. Quant à la liste des personnages, il y a désormais plein de monde (7 au lieu de 2), de vraies présentations (avec caractéristiques), et des settei colorisés en pagaille (face, profil et dos, trois par personne donc).

Bon, je vous laisse, ça m'a redonné envie de m'écouter du Xenogears, tout ça...

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Naologismes / Trou de mémoire
« on: 23 December 2004 à 12h58 »
Rhâ ! Ca me harcèle depuis ce matin, et ça m'énerve. J'ai le souvenir de ce dessin animé que j'avais vu quand j'étais gamin... Un film d'animation, au budget assez limité, probablement d'Europe de l'Est ou de Russie, qui était sorti en France en vidéo dans les années 80... Je crois que mon père l'a toujours d'ailleurs, mais je ne vais pas l'embêter avec ça. Ca reprend l'histoire de Dame Holle, une fée qui fait tomber la neige en époussetant des oreillers, il y a aussi deux soeurs (une blonde, l'héroïne, et une brune), et un puits magique au début du film. Il me semble qu'il y a "Cendrillon" dans le titre, même si les histoires n'ont aucun rapport... (le conte s'appelle Dame Holle, a priori. Une heure de recherches pour retrouver son nom, déjà... Hem.)
Ca rappelle quelque chose à quelqu'un ? ;)

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Naologismes / Xenosaga, encore des infos...
« on: 21 December 2004 à 19h18 »
Grmpf ! Plantage pendant que je tapais cette news... Je fais donc au plus vite, pas envie de la retaper en entier.

Xenosaga remplacera bel et bien Rinkake dans son créneau horaire du mercredi soir à 2h42, à partir du 5 janvier (dans deux semaines, donc). Parallèlement, une adaptation manga a été entamée dans le mensuel Comic Zero-Sum fin octobre. C'est un inconnu qui s'en occupe, Atsushi Umaba. Une illustration est disponible en bas de cette page.

Enfin, le casting a été dévoilé. Shion sera interprétée par Ai Maeda (connais pas, mais je peux faire des recherches sur elle si ça en intéresse). En fait je ne connais guère que Kôichi Yamadera dans le rôle d'Albedo. Et si vous ne le connaissez pas, ben... tant pis pour vous ;o) (Non Kyo, pas besoin d'une bio, merci ;))

A propos d'adaptations de jeux vidéo, Namco (l'éditeur des Xenosaga et des Tales Of) vient également de sortir un OAV adapté du jeu Tales of Phantasia, le premier de la série des Tales of... (Pourquoi pas plutôt Symphonia, snif ?)
Je n'ai fait qu'y jeter un oeil, mais ça m'a l'air d'être chaudement recommandable ! De plus, en dehors de la présence de Takeshi Kusao dans le rôle principal (que demande le peuple !), j'ai l'immense plaisir d'avoir pu reconnaître la voix de Kazuhiko Inoue qui joue un de ses copains invocateurs ! Voilà encore un semi-vétéran qui se faisait vraiment trop rare... Il a enchanté les oreilles de nombreux fans de l'animation des années 80 ! Merci monsieur Inoue !! ^__^

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Naologismes / Hauru va hurler
« on: 21 December 2004 à 19h08 »
Le nouveau Miyazaki sort dans une quinzaine de jours. Youpi. Je vais me jeter dessus... Pour m'y préparer, cet été j'ai eu le plaisir de me payer et de lire l'intégrale des livres de Diana Wynne Jones sortis en français. J'ai bien entendu commencé par Le château de Hurle.

Déjà, je trouve étrange que le personnage devienne "Hauru" dans la version française du film à la place de Howl ou Hurle... Voilà un choix des plus stupides. Mais bon, les adaptateurs français de Miyazaki n'en sont pas à leur première connerie. Souvenez-vous, dans Chihiro, l'héroïne comprend à la vision du dragon blanc qu'il s'agit de son ami, simplement en analysant ce qu'elle vient de dire : "dragon blanc" se traduit par "hakuryû", et l'ami en question s'appelle Haku... En français, c'est super-top-de-la-mort puisqu'elle crie son nom sans donner la moindre explication sur sa prise de conscience... Bravo les gars. Et encore, ce n'est qu'un exemple que j'ai personnellement vécu... Le pire étant dans la version française bien sûr, mais moi je l'avais vu en VO STF à l'origine, et ça m'avait fait sursauter au cinéma, de voir que les sous-titres simplifiaient ce qu'elle disait... Le boulot d'un adaptateur c'est justement de trouver un moyen de rendre en français les subtilités d'une autre langue, bon sang de bois !

Bref... J'en reviens à Hurle. Excellent bouquin, à l'exception de la fin qui est grand-guignolesque. Pour avoir lu depuis tous les DWJ, je confirme : c'est une manie chez elle... Dans le dernier chapitre, elle réunit tous ses personnages et leurs antagonismes, elle compte jusqu'à trois et c'est parti pour la mêlée générale. C'est un peu moins visible dans quelques-uns de ses livres de la saga Chrestomanci, heureusement.

Je fais une parenthèse sur Chrestomanci, sinon je vais oublier. A lire absolument, "Les neuf vies du magicien", la préquelle du premier de la série, qui présente la jeunesse de l'enchanteur Chrestomanci. C'est un pur bonheur, peut-être le livre d'elle que je préfère. "Les magiciens de Caprona" est par contre à éviter, difficile de faire plus ennuyeux et prévisible. "La chasse aux sorciers" est intéressant dans le sens où il est très différent des autres livres de DWJ, et constitue quelque part une "source" potentielle pour JK Rowling et ses Harry Potter, en transposant les héros dans une école de moldus. Quant à "Ma soeur est une sorcière", le premier de la série, il accuse son âge mais reste agréable à suivre. Une bonne introduction aux concepts de cet univers. J'ai également acheté "Mixed Magics", un recueil de nouvelles de l'univers de Chrestomanci, mais je n'ai pas trop aimé les histoires que j'y ai lues (je n'ai pas fini le livre).

Revenons-en, encore une fois, à Hurle... Le premier livre est succulent, et même si la fin est un peu tarabiscotée, j'ai vraiment pris un immense plaisir à le dévorer. C'est pour ça que je n'ai pas pu m'empêcher d'éclater de rire à la lecture du dernier Animeland, cette revue qui ne peut jamais s'empêcher de montrer par-ci par-là l'amateurisme pointer... Dans leur article sur Hurle, donc, l'auteur a écrit un encadré sur les livres. Il nous explique bravement que c'est tiré d'un roman de DWJ, et... C'est à peu près tout. Il est évident qu'il n'a même pas pris la peine de le lire, ce bouquin. Mais le plus comique, c'est la suite... Je résume : "Selon une rumeur, Le château des nuages serait une suite au Château de Hurle, blablabla... A confirmer par les amateurs !"

Conclusion : monsieur n'est pas amateur... On se demande bien pourquoi il a écrit un article dessus, d'ailleurs. S'il avait pris la peine de faire une recherche Google sur le bouquin (allez, 17 secondes à perdre ?), il aurait pu confirmer que c'était bien le cas, au lieu de passer pour quelqu'un qui ne maîtrise pas son sujet à fond... Donc, étant moi-même un "amateur", je confirme : Le château des nuages se déroule dans le même univers, mais à un endroit différent dans sa première moitié (le moyen-orient). L'occasion de revisiter les contes des mille et une nuits à la sauce DWJ. A l'approche de la fin du livre, la plupart des personnages de Hurle font une petite apparition, et dans les dernières pages on réalise que non seulement ils font du caméo à tout va, mais en prime certains étaient même présents depuis le tout début ! Donc, oui, je confirme, on peut effectivement appeler ce livre une "suite" au Château de Hurle...

Désolé d'être resté un peu flou sur tous ces livres, mais je ne veux pas vous gâcher l'histoire de Hurle... ;-)

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Naologismes / Gantzoomuch
« on: 19 December 2004 à 18h37 »
Des nouvelles du Nao en vrac.

Je viens de finir l'épisode 21 de Gantz, et c'est fort... Trop fort ? Je ne sais pas... Visiblement trop fort pour ma moitié, qui ne veut même plus entendre parler de la suite. Elle a de bons arguments, il est vrai.

Le scénario ne va pas chercher très loin et compte beaucoup sur la capacité des personnages à rester de glace (ce qui arrange également les animateurs) quand ils devraient se bouger un peu. C'est également très cliché, et on sent bien la montée de tension très artificielle. Mais bon, n'empêche que le fan de Saint Seiya et de Berserk (épisode 25, y'know-what-i-mean) que je suis a fondu en larmes sur les épisodes 20 et 21. En cadeau bonus, mais j'en suis moins satisfait, j'ai passé plusieurs épisodes à stresser comme un fou devant cette fichue tension dramatique... Par moments, c'était vraiment trop voyant qu'ils essayaient de nous tirer un maximum d'émotions.
C'est marrant, j'essaie de me remettre dans le contexte de mes 13 ans, quand j'ai découvert Saint Seiya et que je me le suis pris en pleine gueule... L'ambiance de ces deux séries est différente, mais leur chantage à l'émotion est parfois identique... Est-ce qu'avec mon évolution actuelle, je serais autant fan de Saint Seiya ? Est-ce que finalement, Saint Seiya n'est pas simplement le genre de série qui ne peut se révéler qu'à l'enfant crédule et enthousiaste, qui par la suite gardera ce bon souvenir et ne supportera pas qu'on dise du mal de sa série fétiche, alors qu'en découvrant de nouvelles séries similaires, il aurait tendance à s'en gausser ?

Bon, sinon sur le plan musical, qui est l'une des principales raisons pour lesquelles j'ai accroché à la série, ça reste bien, mais vraiment pas aussi original ni diversifié que sur les premiers épisodes... Je reste dans ma théorie selon laquelle Natsuki Togawa s'est fait éjecter au bout de 4 épisodes. Je veux le retour des synthés, moi !! En attendant, je me console en écoutant quelques nouveaux samples trouvés sur le site de mon pote Miguel Samiez (toujours aussi génial, on ne change pas un talent comme ça). Regrettable erreur de ma part, il m'avait gentiment offert il y a quelques années un CD de ses dernières productions, mais je l'ai perdu durant mon déménagement. Il ne me reste plus que la jaquette, mais pas le CD ni son boîtier... Allez retrouver un CD apparemment vierge dans mon fatras, tiens ! Résultat, je n'ai plus que ses samples de 30s et 1mn, ainsi qu'une dizaine de morceaux en version longue. Et le CD audio de Kyodai Mahjongg, bien sûr. On ne se sépare pas du soundtrack de son propre jeu, n'est-ce pas ?

Rhâ, ce satané jeu et son site associé... J'en arrive à bout, je le sens. Je vais l'achever, ce foutu site. Et après je me prends un mois de vacances et je me lis tous ces bouquins en retard... (Oui, je sais, ça ne se passera pas comme ça, j'ai toujours une corvée de plus qui m'attend à chaque fois que j'en liquide une...)

Tiens, avec tout ça, on n'a jamais terminé Tales of Symphonia. Bah, ça arrivera bien un jour... Suivant la lassitude, on a tendance à s'éparpiller sur plusieurs loisirs à la fois. Quand Gantz me saoûle trop, c'est un petit coup d'Alias, puis un de ces jours on remettra la main à la pâte sur TOS... Il est très bien, ce petit jeu. Juste un poiiiiiil répétitif dans le monde alternatif... (somnolence.)

Quoi d'autre...? Ring ni kakero s'est terminé cette semaine au Japon. Le dernier épisode est le mieux dessiné de tous, vu que c'est le seul à être dirigé (au niveau de l'animation) par Shingo Araki. Et puis bien sûr, avec Michi Himeno parmi les animateurs, difficile de se tromper...! Fini le remplissage de l'encyclopédie, jusqu'à nouvel ordre...! A mon avis jusqu'à dans deux semaines, quand commencera la diffusion de Xenosaga, quoi... L'encyclo, c'est la seule chose à laquelle je prends plaisir à toucher depuis deux mois sur Cyna (plus par flemmardise qu'autre chose), je ne peux pas la considérer comme "terminée"... Même si, c'est vrai, du côté du staff kurumadien, c'est fini. Reste encore, comme je l'avais déjà dit, à remplir les cases niveau casting... Mais ça n'est vraiment pas dans mes priorités.

Re-quoi d'autre... J'ai reçu hier mon DVD de Mike Oldfield, "Elements", que je voulais surtout pour avoir le bonus, Space Movie, déjà vu en divx sur le Net... Faut dire qu'il n'était jamais sorti en vidéo, ce satané documentaire IMAX ! Mis en musique par Oldfield autour d'un de ses plus beaux albums, Incantations, c'est le must absolu du genre pour moi. (Si tant est qu'il existe un genre "film avec des images sur l'espace, peu de commentaires et beaucoup de musique planante"... Euh, 2001 anyone? ;-)) Bref, je suis un peu déçu par la version présentée sur le DVD, puisqu'elle ne reprend que 17mn du film qui dure plutôt dans les 1h... Mais quelle beauté, quand même, à voir sur sa TV ! J'étais complètement hypnotisé par la musique, fredonnant avec elle au fur et à mesure de son arrivée... Avec une progression en crescendo, c'est vraiment l'idéal pour passer 20mn de bonheur. Mais ça ne remplacera pas le divx tout pourri... Franchement, mais que fait l'éditeur ?!

Bon, c'est fini pour aujourd'hui...

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Naologismes / Je suis un avataré
« on: 10 December 2004 à 3h28 »
J'ai toujours aimé le concept des avatars, qui manque cruellement aux newsgroups et... aux blogs. Je viens de tomber sur un système qui permet une mise en ligne d'avatars "globaux" qui marche plutôt bien, donc je tente le coup sur mon blog. Allez uploader une image de 80x80 sur gravatar.com et elle devrait apparaître prochainement en tant qu'avatar à côté de vos posts ! :)

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Naologismes / Ma série du moment
« on: 10 December 2004 à 1h25 »
Toujours pas le temps de poster, mais je voulais quand même poster un ch'tit truc sur la série que je me regarde ces temps-ci pendant les repas : Gantz.

J'avais déjà feuilleté le manga, qui graphiquement me rappelait agréablement le style Ôtomo, mais les trucs d'action, ça n'a jamais été trop mon truc...
Je me suis intéressé à la série TV parce qu'elle était réalisée par Ichirô Itano (pas l'un des meilleurs réalisateurs de l'archipel nippon, mais qui a fait des trucs intéressants quand même), et parce qu'après avoir regardé le générique de fin du premier épisode (vous vous souvenez, c'est mon hobby), j'avais trouvé parmi les animateurs un certain Hiroya Iijima... Pas un mauvais, quoi. J'aime bien suivre la carrière des gens qui dessinent Saint Seiya. Iijima n'est pas, à ma connaissance, membre d'Araki Production, et d'ailleurs il participe à pas mal de petites choses hors Araki Pro. Ces dernières années il a même été character-designer sur un anime érotique dont j'ai oublié le nom... Isaku, quelque chose comme ça. Mais ça n'a pas grand intérêt, c'est bourré de grands yeux. Pas mon trip perso...

Bref, j'ai tenté le coup sur Gantz et j'ai adoré le premier épisode. Deux gars écrasés par un train, qui se retrouvent l'instant d'après dans un appartement rempli de gens qui viennent eux aussi de mourir... Ils ne peuvent pas sortir de là. Aucune explication, rien, juste une grosse boule noire au milieu de la pièce (la fameuse "Gantz"), sur laquelle s'inscrivent des instructions. J'ai été très intrigué par cet épisode, de par son ambiance éthérée qui n'est pas habituelle pour un anime supposément d'action. Les musiques y sont pour beaucoup... Encore un CD à acheter. Sans compter les DVD, à sortir aux USA dans une paire de mois...

C'est là qu'on dérive dans l'action : on leur ordonne d'aller tuer des aliens... Ca devient extrêmement violent (la série a été d'ailleurs censurée à sa première diffusion TV au Japon), ce qui n'est pas forcément une bonne chose, mais ce qui m'a surpris, c'est que ça ne se résume pas à un hack'n'slash... Au contraire, le héros passe la moitié d'un épisode à regarder sa future victime et à refuser catégoriquement de lui ôter la vie. Difficile de raconter la suite sans gâcher un peu du plaisir, mais le scénario se dévoile agréablement, et au bout de cinq épisodes, il n'y a toujours pas eu de scène d'action, uniquement cette histoire de meurtre d'un alien et de son fils... C'est là une série qui prend son temps, et mélange de façon intéressante des personnages clichés (une fille suicidaire, un mec obsédé, un ami protecteur...) avec des idées qu'on n'a pas l'habitude de trouver dans une série de ce genre. Par exemple, le simple fait d'entendre les personnages penser est classique, mais ici c'est quasi-systématique, et ils pensent de manière plus réaliste que d'habitude, avec toutes leurs manies, leurs faiblesses, leurs haines inexpliquables... Toute la connerie humaine passe dans leurs pensées, qui sont les nôtres aussi après tout. L'important, c'est de savoir s'ils peuvent transcender leurs pensées pour réaliser de bonnes choses. Et ça c'est intéressant.

Par contre, ça ne plaira pas à tout le monde... Ma copine m'a avoué ne pas être inspirée, elle trouve tout ça trop convenu et est tentée de décrocher. Pour ma part je continuerai. Ne serait-ce que pour la musique, et tout le mystère qui entoure la fameuse sphère noire...

Bref, je vous recommande de tenter l'expérience si vous tombez sur le premier épisode. La suite est du même acabit... On aime ou on n'aime pas ;-)

Sinon, dans le même genre mais en moins violent et beaucoup plus chtarbé, je vous recommande très chaudement Paranoia Agent, dont je ne suis pas sûr d'avoir déjà parlé... Peut-être la meilleure série de 2004, une réflexion passionnante sur de nombreux thèmes, centrés autour d'un concept étrange, celui d'un garçon, moitié légende urbaine moitié personne réelle, qui vient frapper avec une batte de base-ball des gens apparemment sans lien entre eux. Les premiers épisodes nous présentent les personnages principaux, pour mieux les faire disparaître au plus vite et se concentrer sur les "rumeurs" autour du garçon, et l'impact qu'elles ont auprès des gens... C'est couillu et (forcément) réalisé par l'un des meilleurs metteurs en scène de la décennie, Satoshi Kon. Donc rigoureusement indispensable, que vous me croyiez ou non. Surtout l'épisode 8, mon préféré.

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Naologismes / Tiens ? C'est vide...
« on: 7 December 2004 à 11h47 »
Oui, ben c'est ça ou recevoir des commentaires réguliers sur notre progression dans Tales of Symphonia. Il y a plus passionnant, n'est-ce pas ? ;-) Et puis comme d'habitude, boulot boulot boulot le reste du temps... J'ai un site à finir pour ce mois-ci, quand même. :-/

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Naologismes / Je viens de lire...
« on: 27 November 2004 à 23h16 »
Bon allez, je me lance.
L'une des raisons pour lesquelles j'ai ouvert ce blog, c'est pour pouvoir y parler de choses sans rapport avec l'animation japonaise. Et particulièrement de ça. Je n'ai jamais été un grand lecteur... En fait jusqu'à cet été, j'avais dû lire une cinquantaine de livres dans toute ma vie, dont la moitié était constituée de romans et nouvelles de Fredric Brown.

Cet auteur passionnant, accessible et aux nouvelles hilarantes, avait immédiatement capté mon attention dans ma jeunesse avec le recueil de nouvelles "Une étoile m'a dit". J'ai découvert et adulé par la suite ses autres livres, dont "Martiens go home" et le fascinant "L'univers en folie". Au début de cette année, un petit éditeur (Coda) a entrepris de sortir l'intégralité de ses nouvelles dans leur ordre chronologique de parution (ou d'écriture, ça n'a pas d'importance). Je me suis délecté du premier volume (le second est, enfin !!, annoncé pour Noël). Je ne lisais plus beaucoup de livres ces dernières années, me concentrant d'abord sur la BD japonaise, puis à partir de janvier 2002 délaissant celle-ci (sauf le toujours succulent Jojo et quelques rares autres oeuvres) pour la bande dessinée française, principalement indépendante, grâce aux travaux de Lewis Trondheim (qui prend sa retraite de dessinateur, quelle tristesse !), Joann Sfar (décidément l'auteur le plus prolifique et le plus passionnant de cette décennie) et Manu Larcenet (qui m'a surpris ces derniers mois en sortant des albums très profonds). Le seul roman qui m'ait marqué ces dernières années était Gloriana de Michael Moorcock, lu pendant mon séjour en Australie en décembre 2001 (mon baptême de l'air, qui m'aura laissé des séquelles permanentes à l'audition de l'oreille gauche, comme quoi). Je l'ai mis sur un piédestal et j'ai considéré qu'aucun livre ne pourrait atteindre ce niveau. Quelque part, c'est vrai, c'est un bouleversant chef-d'oeuvre situé dans un univers victorien fantaisiste complexifié par des intrigues politiques passionnantes. Exactement ce qu'il faut pour me plaire (j'ai toujours adoré la période victorienne). J'ai également lu avec beaucoup de plaisir le Candide illustré par Joann Sfar, uniquement par respect pour ce dernier (dont j'ai quitté la mailing list récemment parce que j'étais triste de constater qu'il n'y avait pas posté depuis un an), ce qui m'a permis de découvrir ce que j'avais raté au collège quand on nous avait "forcé" à lire le livre, et que je m'étais contenté d'en lire quelques pages par-ci par-là pour en faire un compte-rendu... Quel contraste !

J'y arrive... Cet été, j'ai vu Harry Potter 3 et je l'ai trouvé bien meilleur que les deux précédents. A tel point que j'ai eu envie de lire le quatrième tome, "histoire de savoir"... Grand bien m'en a pris. Sa longueur phénoménale (plus de 700 pages) m'a d'abord inquiété, mais j'avais "pris le coup" avec les 600 pages de Gloriana et je l'ai terminé en deux jours. Quelle joie ! Un page-turner formidable qui ne ménage pas son lecteur, et lui offre des scènes terriblement marquantes. C'était fin juin 2004.

En juillet, j'ai voulu continuer sur cette lancée et découvrir d'autres livres. J'ai d'abord, sur les conseils de mon ami Patrick Marcel (rédacteur en chef du vénérable et regretté fanzine Mangazone, et des débuts de Tsunami), dévoré les livres d'un autre de ses amis, Neil Gaiman, dont il est le traducteur sur plusieurs oeuvres, notamment "De bons présages", qui m'a tout de suite intéressé par son humour Pythonesque et sa thématique sur l'Antéchrist (j'aime aussi beaucoup les histoires d'anges et de démons). Un vrai plaisir. J'ai continué sur ma lancée et lu tous les autres livres de Gaiman. Stardust : chef-d'oeuvre de la littérature de fantasy, variation passionnante sur les contes de fée. American Gods : une aventure épique parmi les incarnations modernes des dieux scandinaves, voilà de quoi passionner le fan de Saint Seiya Asgard (et de mythologie nordique) que je suis depuis toujours. Sandman a aussi droit à un merveilleux album, qui m'a beaucoup réconcilié avec les comics (voilà un auteur que je range avec fierté à côté de mes J. Michael Straczynski et des classiques d'Alan Moore).

Après avoir terminé les aventures de Neil Gaiman (du moins la plupart), et ayant été un peu déçu par ce qui restait de lui et m'intéressait moins (ses livres illustrés pour les enfants par exemple), il m'a fallu trouver de nouveaux intérêts pour rester sur ma lancée (parce que je savais que si je m'arrêtais une semaine de lire, je n'aurais pas le courage de continuer). Ce fut par exemple Agatha Christie qui réussit à m'intéresser. Non pas à travers "Dix petits nègres" qui m'a franchement laissé de glace, mais par exemple ses nouvelles méconnues de Parker Pyne, puis le mémorable Le meurtre de Roger Ackroyd (à conseiller à tous ceux qui n'ont jamais lu de roman policier de leur vie).

On en arrive au mois d'août... J'ai beaucoup travaillé ce mois-là, et dès que je voulais me reposer un peu, je sortais un livre et je le dévorais. J'ai lu au total vingt romans ce mois-là, soit presque autant que ce que j'avais lu dans toute ma jeunesse...!

La véritable révélation de ce fameux mois d'août, ce fut Philip Pullman. J'en avais entendu parler comme d'un auteur aussi révéré que J.K. Rowling, et presque aussi bien vendu qu'elle outre-Manche. J'ai donc tenté ma chance avec Les royaumes du Nord, première partie de la trilogie His Dark Materials (A la croisée des mondes), connue dans le monde entier. Quelle délectation ! Un livre écrit pour les enfants mais destiné aux adultes, écrit de manière pas trop rébarbative mais qui émerveille constamment par son intelligence et sa volonté de ne pas choisir les solutions les plus simples... Il y avait là-dedans quelque chose de vraiment neuf pour moi. Voilà que quelqu'un faisait déjà concurrence à mes Neil Gaiman, Fredric Brown et compagnie ! Mais le dernier livre de la trilogie est vraiment celui qui m'a le plus conquis... Je crois que personne ne pourra prétendre le contraire. On y parle de philosophie, de théologie, de la Genèse revisitée, et d'une histoire d'amour déchirante et sublime à la fois. C'est le genre d'oeuvre qui vous reste dans la tête des années après.

Dès lors je suis reparti sur mon principe d'acheter tous les livres du même auteur. Je passe rapidement sur ses livres "vraiment" destinés aux enfants, qui restent toutefois un plaisir à lire, pour me concentrer sur sa tétralogie qui le fit connaître dans les années 80 avant qu'il n'entâme His Dark Materials... Je parle ici de Sally Lockhart. Allez, on ne me la fait pas : un roman aventure-policier situé dans un Londres victorien ? C'est tout à fait pour moi merci...!

J'ai donc dévoré le premier livre avec beaucoup d'enthousiasme. S'il ne m'a pas autant convaincu que le premier His Dark Materials, je suis resté abasourdi par les derniers chapitres, remplis de non-dits et de textes nécessitant de la part du lecteur un investissement personnel. Il est vraiment gratifiant de devoir se souvenir d'événements anodins intervenus 200 pages plus tôt pour tirer ses propres conclusions sur l'histoire. J'ai donc entamé le second livre avec tout autant d'intérêt... Mais je ne m'attendais pas à ça !

Si La malédiction du rubis nous montre avec beaucoup de détail et parfois de cruauté les bas-fonds de Londres, Le mystère de l'Etoile Polaire s'attache lui à discuter des méandres de l'industrie de la guerre. Le sujet ne paraît pas très intéressant à première vue, et pourtant... Pour ceux qui connaissent, on retrouve un peu de l'esprit du Watchmen d'Alan Moore, sorti vers la même époque. Sauf que si Watchmen est utopique, l'Etoile Polaire choisit lui la voie d'une philosophie plus réaliste. Mais en dehors du discours passionnant du livre, se dénoue un drame déchirant pour les personnages, qui m'a permis de retrouver des émotions longtemps enfouies. C'est la première fois qu'un livre se permet non seulement de m'émouvoir au point de verser des larmes, mais de les entretenir sur plus d'une centaine de pages. Un chef-d'oeuvre, tout simplement.

Le troisième volume, La vengeance du tigre, est beaucoup plus long, et s'intéresse cette fois à la naissance des mouvements socialistes. Le propos est toujours aussi passionnant, et la première moitié du livre est tout simplement palpitante, mais j'ai regretté de ne pas y retrouver la même intensité dramatique que dans le précédent opus. Mais il reste un livre formidable, qui traduit merveilleusement la maturation d'une héroïne et d'un auteur définitivement à suivre.

Le quatrième livre, enfin, se situe un peu à part. La princesse de Razkavie, qui vient de sortir dans les bonnes librairies (et étrangement, je pense à Carrefour et non à la Fnac ni à Virgin ici), ne met en scène l'héroïne Sally que dans les premières et les dernières pages. Elle chapeaute ici un peu une histoire entièrement dédiée à son jeune ami Jim Taylor et à un personnage qui avait laissé une forte impression dans le premier roman et qu'on n'avait plus eu la joie de revoir depuis. Ecrite juste avant "Les royaumes du Nord", l'histoire tourne également autour d'une thématique, cette fois à l'opposé des bas-fonds des premiers Sally Lockhart : la vie d'une reine dans un petit royaume imaginaire entre l'Allemagne et l'Autriche-Hongrie.

Moins émouvant là aussi mais doté d'une fin à la fois étrange, déconcertante et satisfaisante, cliché et originale en même temps (oui je sais, c'est étrange à dire comme ça), Pullman réussit à insuffler un véritable degré de réalisme dans sa description de la Cour Royale et des nombreux complots qui la déstabilisent. On retrouve également beaucoup d'action palpitante, et des personnages qui ne s'avouent jamais vaincus, même si, pour une fois, on nous rappelle à la fin (à la fin dans l'avant-dernier chapitre et dans la dernière page) qu'il faut se réveiller et savoir prendre la mesure de ses responsabilités. Aucune concession n'est faite à l'art romanesque, et pourtant un grand sentiment d'amour m'a submergé à la lecture de ce livre.

Voilà, je viens de le terminer et j'ai enfin trouvé la force de vous parler de toutes ces choses. J'espère avoir pu transmettre un peu de mon enthousiasme et vous encourager à découvrir ces auteurs passionnants.

Quant à moi, j'attendrai patiemment un hypothétique cinquième Sally Lockhart, Pullman ayant lui-même reconnu que ses personnages avaient encore leur mot à dire. La patience est un plat qui n'attend pas la valeur des années qui se mangent froides. Ou quelque chose comme ça !

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Naologismes / La douloureuse passion du staff
« on: 27 November 2004 à 19h11 »
Je me bats depuis ce matin contre mon disque dur, alors pour me changer les idées, retour à un concept créé sur Cyna : rapporter ce que font en ce moment, hors Saint Seiya, les créateurs de Saint Seiya... (ajoutons dans le lot B'T X aussi tant qu'à faire, j'ai encore les noms bien frais dans ma mémoire... ;-))

Désolé si je rate des gens, hein, mais je fais ça de mémoire, c'est pas comme si je vérifiais un par un les plus de 500 personnes répertoriées dans l'encyclopédie... ;-)

On commence avec "Yakitate ! Japan".
Episode 6 : storyboard de Hidetoshi Ômori. Episode 8 : scénario d'Akatsuki Yamatoya.

On passe à "Mai-HiME".
Episode 10 : animation dirigée par Satoshi Ishino et Ken Ôtsuka.

"Mermaid Melody Pichipichi Peach Pure" (on sent bien le travail sur le choix des titres de séries...)
Episode 34 : animation dirigée par Kazuyuki Igai.

"Pokémon Advance Generation" (oui, ça existe encore !)
Episode 102 : animation dirigée par Izumi Shimura.

"Bobobôbo Bôbobo" (à ne pas confondre avec une autre série très connue, "Prout Prout Proût Prout Prout Prout Prout Prout")
Episode 35 : animation dirigée par Masahiro Naoi (également sur le 37, mais aussi character-designer de la série, qui est très limitée graphiquement soit dit en passant). Episode dirigé par Masahiro Hosoda. Direction artistique de Yoshiyuki Shikano.

"Bôken-ô Beet" (la série tirée du manga des créateurs de Dragon Quest - Dai no daibôken)
Episode 7 : storyboard et direction de l'épisode par Masahiro Hosoda (également sur l'épisode 11). Animation dirigée par Nobuyoshi Sasakado. Direction artistique de Yoshiyuki Shikano (également sur l'épisode 10).
Episode 8 : storyboard et direction de l'épisode par Shigeyasu Yamauchi. Notre réalisateur préféré s'est d'ailleurs bien défoulé dans cet épisode, comme me l'ont signalé des fans de Beet. Ce n'est pas sa première participation à cette série, qu'il convient donc de suivre avec intérêt !

"Bleach"
Episode 7 : scénario de Michiko Yokote.

"Black Jack"
Episode 6 : épisode dirigé par Atsushi Yano.

"Futari wa Precure"
Episodes 39 à 42 : co-directeur artistique : Shinzô Yuki.

A noter au passage la série TV "Fantastic Children", avec Takashi Nakamura (Palme no ki, character-designer d'Akira et Super-Durand...) à la création, co-écriture des épisodes, et character-design.

"Haruka-naru jikû no naka de"
Episode 7 : scénario d'Akatsuki Yamatoya (idem pour l'épisode 10).

"Naruto"
Episode 108 : scénario d'Akatsuki Yamatoya (il est partout, lui...). Idem pour l'épisode 112.
Episode 109 : scénario de Michiko Yokote (quand c'est pas lui c'est elle !)...
Episode 110-111 : storyboard co-réalisé par Ryô Yasumura.

"W - Wish"
Episode 9 : animation dirigée par Tatsunaga Namikaze.

"Sôkyû no Fafner"
Episode 21 : storyboard par Hidetoshi Ômori (encore lui).

Une spéciale pour Arion : dans la série "Suna-bôzu", l'animation de l'épisode 8 est dirigée par Masami Suda (Hokuto no ken).

"Zipang" (d'après l'auteur de "Chinmoku no kantai" :))
Episode 9 : animation dirigée par Tatsunaga Namikaze. Encore un qui aime bien se diversifier...

"Samurai Gun"
Episode 9 : storyboard par Hidehito Ueda.

"Konjiki no Gashbell!!"
Episode 82 : animation dirigée par Setsuko Nobuzane, une intervalliste d'Abel promue animatrice sur le Tenkai !
Episode 84 : scénario d'Akatsuki Yamatoya (ce nom me dit quelque chose...). Idem pour l'épisode 85. Direction de l'épisode par Tadayoshi Yamamuro (character-designer de Dragon Ball Z, si mes souvenirs sont bons).
Episode 85 : animation dirigée par Yoshitaka Yashima.

"Kenshiken"
Episodes 7 et 9 écrits par Michiko Yokote (youplà).

Pour ma pomme, à noter sur "Kurau Phantom Memory" (la série qui précède la diffusion de Ring ni kakero le mercredi soir), la participation de Toshihiro Kawamoto (character-designer sur Gundam 0083 et Golden Boy) à la direction de l'animation de l'épisode 21, et de Kumiko Takahashi (character-designer de Tôkyô Babylon et Mermaid's Scar) à celle de l'épisode 22.

"Kidô senshi Gundam Seed Destiny"
Episodes 5 et 7 : storyboard par Susumu Nishizawa (j'aime beaucoup ce garçon, allez voir sa fiche).

"Kannazuki no fujo"
Episode 9 : animation dirigée par Yorihisa Uchida (quel talent !).

Pour ma pomme encore, Noboru Aikawa (Vampire Miyu, Urotsukidôji...) a écrit les épisodes 41 et 42 de "Kamen Rider Ken".

"Onmyô-daisenki"
Episode 9 : scénario d'Akatsuki Yamatoya, champion de la diversification.

"Otogizôshi" (la série dessinée par l'immmmmense Shôu Tajima !)
Episode 21 : mis en scène par Nanako Shimazaki, l'une des trop rares femmes à faire de la direction technique.

"Uta~kata"
Episode 8 : mis en scène par Jun-ichi Satô, réalisateur de Sailor Moon et mari de Yasuno Satô.
Episode 10 : animation dirigée par Keiji Gotô.

Fini !!
Eh beh... Pour tout vous dire, je n'aurais pas cru qu'il y avait tant de beau monde dans les dessins animés diffusés en ce moment à la télévision japonaise ! ;-)

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