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シナラムから日本へ / Re: Partageons nos vieilles raretés du Japon...
« on: 25 July 2013 à 10h29 »
Bonjour René,
J'aurai préféré t'écrire en d'autres circonstances. Je regrette qu'après 18 ans, tu continues à m'insulter et à dire des mensonges.
Tu me traites de voleur en disant que je suis parti avec la caisse. Quelle caisse ? Le seul argent que je possédais était mon salaire de libraire. Et je n'ai pas non plus dérobé la caisse des internautes qui m'ont aidé à publier le livre "Les séries de notre enfance" comme en témoigne sa parution. C'est de la diffamation pure et simple.
En parlant du livre, tu dis également que je suis un imposteur car j'ai très peu écrit ce livre. Là aussi,c'est de la diffamation et Nordine peut témoigner de mon travail de fou. Car en plus d'écrire mes propres chapitres, j'ai relu et corriger les siens sans compter le travail colossal que représentaient les interviews, d'obtenir les contacts et de rencontrer les personnes aux quatre coins du monde. Là aussi, tous les protagonistes peuvent en témoigner.
Michi Himeno quant à elle, est devenue une amie et je n'accepte pas que tu insinues que je ne la connaisse pas et que je ne l'ai jamais interviewée. Nous avons correspondu pendant 2 ans et encore aujourd'hui, elle m'écrit pour prendre de mes nouvelles. Enfin, j'ai créé ma propre société d'édition pour publier ce livre et donner vie à mes projets de dessins animés, mon rêve de gamin. Comment peux-tu témoigner de mon travail alors que je le rappelle, on ne s'est pas vu depuis 18 ans ?
Comme tu le sais sans doute, à l'époque j'ai créé Amazing World car, comme toi, je suis tombé dans la marmite de l'animation. De quelques pages photocopiées, en quelques années j'ai réussi par miracle à faire imprimer le numéro 5 et 6. Dans un premier temps, jusqu'au numéro 4, j'étais seul à bord. Pour les numéros 5 et 6, d'autres passionnés (dont toi) m'ont aidé à rédiger quelques articles. Je te rappelle quand même qu'il n'a jamais été question d'une quelconque rémunération. Comme tu le sais, un fanzine est fait par des fans pour des fans. Ce fanzine se faisait avec les moyens du bord + une partie de mon salaire. Et vu le tirage (une centaine d'exemplaires), nous étions à cent mille lieues d'être un Animeland ou un magazine du même genre. Je n'aurai jamais pu payer quiconque.
Ce fanzine que tu dénigres t'a permis d'approcher Shingo Araki qui, je te le rappelle, était inaccessible. Souviens-toi, tu m'avais demandé cet énorme service. J'ai donc été supplié Pierre qui ne voulait absolument pas qu'on l'approche. Après être revenu plusieurs fois à la charge, il a accepté que je vienne seul car il ne voulait pas que tu sois présent. Cela m'a pris très longtemps, mais j'ai finalement réussi à le convaincre que tu puisses nous accompagner. Tu m'as semblé très reconnaissant . Ca m'a coûté auprès de Pierre car je lui étais redevable mais j'étais très heureux d'avoir pu concrétiser ton rêve.
En ce qui concerne Kazé, nous avions un deal : les traductions étaient échangées contre des VHS. On pouvait avoir accès à tout leur catalogue. Etant donné qu'il n'y avait ni contrat ni rémunération, la seule chose qui pouvait figurer sur les jaquettes était le nom de l'association World Design. De mon côté, je devais régler toutes mes dépenses (le train A/R Lille/Paris, le métro, etc) pour ramener les traductions, en récupérer d'autres, récupérer les VHS et le tout sur des jours de congés que je prenais spécialement pour cela. Pour revenir à cette fameuse vidéo où mon nom figure, ce fut une erreur de l'associé de Cédric. Je vous ai présenté la jaquette avant même que la vidéo ne sorte en vous expliquant ce qui était arrivé. Mais ni toi, ni tes deux potes n'avaient voulu m'écouter. J'ai, de mon côté, demandé à Kazé de retirer cette jaquette mais ils ont refusé car il était déjà trop tard. Tout cela, Cédric peut te le confirmer.
Comme tu le sais, nous sommes en froid depuis 18 ans, non pas à cause de cet accident mais suite à un souci avec les éditions Samouraï
Tu te rappelles des éditions Samouraï avec qui je travaillais et qui étaient l'un des annonceurs d'Amazing World ? J'ai toujours été honnête avec mes collaborateurs et je faisais confiance au point de donner toutes les coordonnées de mes interlocuteurs. On a profité de la première occasion pour me piquer mes commanditaires. Je te rappelle aussi que le pourcentage était de 30% pour l' association et 70 % pour vous et les 30% me permettaient de faire des aller-retours sur Paris.
C'est suite à cela, et sur le coup de la colère, que j'ai publié l'un de tes articles sous le nom de cafard masqué, un pseudonyme dont t'affublaient tes "amis" de Lille.
Malgré tout ce que j'ai subi, quelques mois plus tard, j'ai regretté ce geste. Et comme je n'en pouvais plus, j'ai tout arrêté et mis au pilon l'ensemble des fanzines. Je ne voulais plus en entendre parler. Toute cette histoire m'avait écoeuré et j'ai voulu prendre mes distances. J'ai eu le tord d'être ouvert et d'avoir de nombreux contacts après de nombreux mois de prospection et de rendez-vous pour obtenir leur confiance, ce qui a suscité toutes les jalousies. Et, malheureusement pour moi, je n'ai pas su bien m'entourer car il n'y avait que des opportunistes qui m'ont utilisé pour parvenir à leur fin.
Si tu souhaites qu'on en parle de vive voix, je te propose de se rencontrer sur Paris. Pourrait-on clore ce chapitre définitivement et employer nos énergies de manières constructives ?
A bientôt,
J'aurai préféré t'écrire en d'autres circonstances. Je regrette qu'après 18 ans, tu continues à m'insulter et à dire des mensonges.
Tu me traites de voleur en disant que je suis parti avec la caisse. Quelle caisse ? Le seul argent que je possédais était mon salaire de libraire. Et je n'ai pas non plus dérobé la caisse des internautes qui m'ont aidé à publier le livre "Les séries de notre enfance" comme en témoigne sa parution. C'est de la diffamation pure et simple.
En parlant du livre, tu dis également que je suis un imposteur car j'ai très peu écrit ce livre. Là aussi,c'est de la diffamation et Nordine peut témoigner de mon travail de fou. Car en plus d'écrire mes propres chapitres, j'ai relu et corriger les siens sans compter le travail colossal que représentaient les interviews, d'obtenir les contacts et de rencontrer les personnes aux quatre coins du monde. Là aussi, tous les protagonistes peuvent en témoigner.
Michi Himeno quant à elle, est devenue une amie et je n'accepte pas que tu insinues que je ne la connaisse pas et que je ne l'ai jamais interviewée. Nous avons correspondu pendant 2 ans et encore aujourd'hui, elle m'écrit pour prendre de mes nouvelles. Enfin, j'ai créé ma propre société d'édition pour publier ce livre et donner vie à mes projets de dessins animés, mon rêve de gamin. Comment peux-tu témoigner de mon travail alors que je le rappelle, on ne s'est pas vu depuis 18 ans ?
Comme tu le sais sans doute, à l'époque j'ai créé Amazing World car, comme toi, je suis tombé dans la marmite de l'animation. De quelques pages photocopiées, en quelques années j'ai réussi par miracle à faire imprimer le numéro 5 et 6. Dans un premier temps, jusqu'au numéro 4, j'étais seul à bord. Pour les numéros 5 et 6, d'autres passionnés (dont toi) m'ont aidé à rédiger quelques articles. Je te rappelle quand même qu'il n'a jamais été question d'une quelconque rémunération. Comme tu le sais, un fanzine est fait par des fans pour des fans. Ce fanzine se faisait avec les moyens du bord + une partie de mon salaire. Et vu le tirage (une centaine d'exemplaires), nous étions à cent mille lieues d'être un Animeland ou un magazine du même genre. Je n'aurai jamais pu payer quiconque.
Ce fanzine que tu dénigres t'a permis d'approcher Shingo Araki qui, je te le rappelle, était inaccessible. Souviens-toi, tu m'avais demandé cet énorme service. J'ai donc été supplié Pierre qui ne voulait absolument pas qu'on l'approche. Après être revenu plusieurs fois à la charge, il a accepté que je vienne seul car il ne voulait pas que tu sois présent. Cela m'a pris très longtemps, mais j'ai finalement réussi à le convaincre que tu puisses nous accompagner. Tu m'as semblé très reconnaissant . Ca m'a coûté auprès de Pierre car je lui étais redevable mais j'étais très heureux d'avoir pu concrétiser ton rêve.
En ce qui concerne Kazé, nous avions un deal : les traductions étaient échangées contre des VHS. On pouvait avoir accès à tout leur catalogue. Etant donné qu'il n'y avait ni contrat ni rémunération, la seule chose qui pouvait figurer sur les jaquettes était le nom de l'association World Design. De mon côté, je devais régler toutes mes dépenses (le train A/R Lille/Paris, le métro, etc) pour ramener les traductions, en récupérer d'autres, récupérer les VHS et le tout sur des jours de congés que je prenais spécialement pour cela. Pour revenir à cette fameuse vidéo où mon nom figure, ce fut une erreur de l'associé de Cédric. Je vous ai présenté la jaquette avant même que la vidéo ne sorte en vous expliquant ce qui était arrivé. Mais ni toi, ni tes deux potes n'avaient voulu m'écouter. J'ai, de mon côté, demandé à Kazé de retirer cette jaquette mais ils ont refusé car il était déjà trop tard. Tout cela, Cédric peut te le confirmer.
Comme tu le sais, nous sommes en froid depuis 18 ans, non pas à cause de cet accident mais suite à un souci avec les éditions Samouraï
Tu te rappelles des éditions Samouraï avec qui je travaillais et qui étaient l'un des annonceurs d'Amazing World ? J'ai toujours été honnête avec mes collaborateurs et je faisais confiance au point de donner toutes les coordonnées de mes interlocuteurs. On a profité de la première occasion pour me piquer mes commanditaires. Je te rappelle aussi que le pourcentage était de 30% pour l' association et 70 % pour vous et les 30% me permettaient de faire des aller-retours sur Paris.
C'est suite à cela, et sur le coup de la colère, que j'ai publié l'un de tes articles sous le nom de cafard masqué, un pseudonyme dont t'affublaient tes "amis" de Lille.
Malgré tout ce que j'ai subi, quelques mois plus tard, j'ai regretté ce geste. Et comme je n'en pouvais plus, j'ai tout arrêté et mis au pilon l'ensemble des fanzines. Je ne voulais plus en entendre parler. Toute cette histoire m'avait écoeuré et j'ai voulu prendre mes distances. J'ai eu le tord d'être ouvert et d'avoir de nombreux contacts après de nombreux mois de prospection et de rendez-vous pour obtenir leur confiance, ce qui a suscité toutes les jalousies. Et, malheureusement pour moi, je n'ai pas su bien m'entourer car il n'y avait que des opportunistes qui m'ont utilisé pour parvenir à leur fin.
Si tu souhaites qu'on en parle de vive voix, je te propose de se rencontrer sur Paris. Pourrait-on clore ce chapitre définitivement et employer nos énergies de manières constructives ?
A bientôt,